Général de brigade, Célestin Kanyama, commissaire de la ville de Kinshasa se veut un bon chef de Police administrative. Le fait par lui, de prévenir la commission des infractions par des musiciens r-dcongolais dans sa juridiction. Rare à Kinshasa, de telles initiatives ont été faites. Coups de chapeau.
Inutile de jaser voire polémiquer sur l’initiative de Célestin Kanyama. D’avoir réuni autour de lui, les musiciens r-dconglais, les chroniqueurs culturels et les artistes comédiens. Afin de rappeler chacun d’eux à l’ordre, sur leurs comportements dans les médias, devenus de plus en plus, infractionnels.
Ces artistes musiciens, artistes comédiens et chroniqueurs culturels ont depuis, fait de la commission des injures et imputations dommageables par voie de presse, un principe. Sans que la police judiciaire moins encore le parquet ne se saisissent d’office. Sans que la police nationale à son tour les prévienne. Il ne faillait qu’un certain Kanyama soit nommé à la tête de la ville de Kinshasa pour prévenir ce comportement de nature à troubler l’ordre public. Loin d’être un excès de pouvoir. Cette initiative démontre à suffisance que ce général maîtrise mieux la mission primordiale d’une Police administrative. Celle de prévenir les infractions qui pourraient être commises. Le général surnommé abusivement «esprit de mort» mérite de la patrie. «Esprit de mort» tout simplement, d’après des rumeurs, à chaque fois que ce général, alors qu’il était encore colonel débarquait pour une intervention, laisserait derrière des morts. Une thèse qui n’avait jamais été prouvée, par des familles dont les membres seraient victimes. Les mêmes rumeurs ont circulé lorsqu’il a mené l’opération dite «likofi» dans la ville contre les «kuluna». Des personnes ont soutenu que l’équipe du général dans cette opération fusillait ces délinquants. Pourtant, nulle part, dans la ville, des familles ont organisé des deuils pour pleurer les leurs, qui seraient morts dans cette opération. Intox.
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