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Trente deux (32) présumés collaborateurs des rebelles ADF arrêtés par l'armée dans le Grand-nord de la province du Nord-Kivu, ont été présentés à la presse ce vendredi 08 mars 2024 en ville de Beni. La cérémonie y afférente a été facilitée par le secteur opérationnel Sokola 1 Grand-nord via son porte-parole devant la presse. Il s'agit des Congolais qui travaillaient avec les rebelles en étant dans les villes. 

Le jeudi 07 mars 2024 après une audience avec le vice-premier ministre de la Défense Jean Pierre Bemba, l'ambassadeur allemand en RDC Ingo Herbert a accusé le Rwanda et la rébellion du M23 d’être responsables de l'aggravation de la crise sécuritaire et sanitaire dans l'Est de la RDC. " On est très préoccupés par la situation, on partage le souci, on voit que le M23 avec le soutien de l'armée rwandaise est au fond de cette crise aggravée .

Le commissariat provincial de la police ville de Kinshasa a présenté à la presse 525 présumés criminels communément appelés "kuluna" jeudi 7 mars 2024. Parmi eux,  un élément  incontrôlé des forcées armées (FARDC). A en croire le commandant de la police de Kinshasa, le commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimbalimba, ces présumés criminels ont été appréhendés dans les 58 commissariats urbains que compte la capitale congolaise. Il a rapporté également qu’un réseau de faux kidnappeurs a été démantelé.

Après sa démission de la tête de l'Église de Réveil du Congo, l'évêque Dodo Kamba pourrait être à la tête d'une nouvelle plateforme des églises chrétiennes.  

Dans une lettre de protestation adressée au président de la Commission de l'Union Africaine, Moussa Faki, le gouvernement burundais a réagi aux accusations du Rwanda concernant l'hébergement des FDLR sur son territoire, en déplorant plutôt les actions continues de sabotage menées par Kigali, compromettant ainsi la sécurité de la région. En ce qui concerne la crise sécuritaire dans l’est de la RDC, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération au développement du Burundi, signataire de cette missive consultée ce mercredi 06 mars 2024 par 7SUR7.CD, a à son tour accusé le

Le parti politique Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (ECIDé), de Martin Fayulu, plaide pour l’émission d’un mandat d’arrêt international contre tous les dirigeants du mouvement rebelle M23. Cette plaidoirie fait partie des recommandations issues du Conseil national de l'ECiDé qui a rassemblé à Kinshasa plus de 200 délégués des 32 provinces politiques du parti, en session extraordinaire, du 1er au 5 mars 2024. 

À l’issue de son Conseil national tenu du 1er au 5 mars 2024, le parti politique Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (ECIDé) de Martin Fayulu, dit constater que la situation sécuritaire à Kwamouth dans le Maï-Ndombe, demeure obscure. À cet effet, le Conseil national recommande instamment au Bureau national du parti d’exiger une enquête approfondie pour en déterminer les causes, les responsables et les solutions.

À travers une correspondance adressée au président du Bureau d’âge de l’Assemblée provinciale, le vice-gouverneur de la ville de Kinshasa Gérald Mulumba, Gecoco, a annoncé sa démission.  Cette décision, a-t-il souligné, fait suite à la validation de son mandat en tant que député provincial, conformément aux prescrits de la loi.

Augustin Kabuya, le grand-frère du président de la République Roger Tshisekedi et le vice-gouverneur de Kinshasa Gecoco Mulumba sont parmi les candidats sénateurs à Kinshasa pour le compte de l’UDPS renseigne un document du parti présidentiel datant du 2 mars dernier. Sont également candidats pour le compte de l'UDPS ; Marcel Mbayo, Francois Nzenza Mpangu, Micke Kabasele Tubajicka, Ambroise Midi Giamany ainsi que Ablavi Eboma.

À travers son arrêt rendu ce mardi 5 mars 2024, la Cour Constitutionnelle a autorisé les élus nationaux et provinciaux de Rutshuru, Masisi (Nord-Kivu) et Kwamouth (Maï-Ndombe) de 2018 à continuer à siéger pour cette nouvelle législature, jusqu'à l'organisation des scrutins. Cette décision intervient dans un contexte où les élections précédentes n'ont pas pu se dérouler comme prévu dans ces régions en raison de l'insécurité persistante. Les élections présidentielle, législatives nationales, provinciales et municipales qui se sont tenues en décembre dernier n'ont pas pu êt