Société

Kasa-Vubu. Au début du mois de novembre 2014, Kabeya wa « Dollars », homme d’affaires très discret dans cette commune de Kinshasa, mais bien connu dans les milieux diamantaires de Kananga, connaît une baisse d’activités avec la chute des cours du diamant. Sa mésaventure démarre par un banal appel téléphonique. Cet acheteur de pierres précieuses auprès des creuseurs locaux, a reçu d’abord, comme il faudrait le signaler, une communication téléphonique pro venant d’un homme d’affaires congolais résidant actuellement à Kampala, en Ouganda.

Les agents et cadres retraités du ministère de l’Environnement, Conservation de la Nature et Tourisme des territoires de Masi-Manimba, Idiofa, Gungu, Popo-Kabaka et Kasongo-Lunda et ceux de la ville de Kikwit (Bandundu) dénoncent les irrégularités constatées dans le paiement de leurs allocations de fin carrière et autres frais. Ils ont exprimé leur mécontentement, jeudi 8 janvier, dans un entretien à Radio Okapi.

De faux agents de sécurité foisonnent dans la paisible capitale congolaise. Ils se sont manifestés une fois de plus lors des festivités marquant les fêtes de Noël et de Nouvel An. Le quartier Matonge, plus précisément la place de la victoire, compte toujours parmi les lieux de prédilection. Pour narguer les passants, munis des sacs à main, les faussaires les interpellent, souvent dans un coin. Après présentation fulgurante d’une soi-disant carte militaire vite remise en poche, le malfrat passe à l’interrogatoire. Etes-vous civil ou militaire ?

Une centaine d’agents de l’hôpital général de référence de Panzi à Bukavu (ud-Kivu) ont assiégé, mardi 6 janvier, les installations de la Direction générale des impôts (DGI). Ils protestent contre le gel des avoirs de cette formation hospitalière et le prélèvement de l’impôt sur le revenu professionnel.«La DGI s’est servie dans le compte de l’hôpital de Panzi à la BCDC ; ça c’est le premier problème.

Les activités sociales et économiques sont restées paralysées dans la ville de Matadi (Bas-Congo) suite à la grève des transporteurs déclenchée mercredi 7 janvier. Les grévistes s’insurgent contre les tracasseries policières. Selon les chauffeurs des véhicules de transport en commun, les policiers de roulage leur exigent l’autorisation de transport et l’expertise « à tout moment ».Des colonnes des piétons sont encore observées cet après-midi à travers les grandes artères de la ville comme c’était le cas depuis le matin.

Depuis quelque temps, certaines personnes se font passer pour des guérisseurs traditionnels. Elles font la ronde des avenues de Kinshasa pour faire la publicité de leurs produits. A les en croire, leurs «médicaments» guérissent toutes les maladies, même celles d’origine mystérieuse telles que « Mbasu », « Nzoko » (éléphantiasis), « Mpese » (démangeaisons), etc.

Les activités sociales et économiques sont restées paralysées dans la ville de Matadi (Bas-Congo) suite à la grève des transporteurs déclenchée mercredi 7 janvier. Les grévistes s’insurgent contre les tracasseries policières. Selon les chauffeurs des véhicules de transport en commun, les policiers de roulage leur exigent l’autorisation de transport et l’expertise « à tout moment ».Des colonnes des piétons sont encore observées cet après-midi à travers les grandes artères de la ville comme c’était le cas depuis le matin.

* Les usagers, quant à eux, admirent plutôt la beauté de l’œuvre. Après plus d’une année des travaux de réhabilitation, le pont Bokassa a été ouvert au trafic. Ce, à la grande satisfaction des habitants de la commune de Kalamu et des usagers de ce raccourci reliant la commune de Kalamu à celle de Kinshasa pour déboucher jusqu’au centre-ville en passant par le marché central. Une réalisation de l’Office des Voiries et Drainage (OVD) qui ne laisse personne indifférent. Elle s’inscrit dans le vaste programme de la « révolution de la modernité ».

L’ONG Ensemble luttons contre le SIDA –ELCOS- s’est donnée pour mission de contribuer à la réduction du taux du VIH/SIDA en RD-Congo. Odiane Lokako, présidente de cette ONG, a fait une descente dans la partie Est de Kinshasa en vue de sensibiliser et distribuer les préservatifs aux membres de l’Association de chauffeurs du Congo –ACCO-, l’Association de santé familiale –ASF-, les vendeurs ambulants, trafiquants, voyageurs, menuisiers, les femmes maraichères …

Pour avoir de l’eau potable, les familles modestes de la capitale diamantifère et qui constituent le 9/10ème de la population doivent parcourir plus de dix kilomètres. Ceux des habitants de cette ville qui disposent des véhicules 4X4 effectuent des tours durant la nuit pour se procurer cette denrée devenue rarissime. Mbuji Mayi offre le spectacle d’une ville ayant subi une guerre civile entre factions rivales qui se sont livrées à des destructions méchantes des infrastructures, notamment les canalisations et autres canaux de distribution d’eau potable fournie par la Regideso locale.