Société

Un major de la Police Nationale Congolaise exige aux conducteurs de véhicule qui exploitent la route nationale Bukama-Kamina, Kanyama dans la province du Haut Lomami, de payer entre 30 000 (32 dollars américains) et 50 000 FC (54 dollars) pour passer un barrage routier qu’il a érigé. Un conducteur qui passait par cette route dans la nuit de samedi à dimanche a dénoncé cette situation lundi à Radio Okapi.

Le vendredi 21 août dernier au restaurant The River en face de l’école Belge sur l’avenue de la Gombe non loin de la Halle de la Gombe, la présidente de l‘Acagor et toute son équipe au grand complet ont réalisé un grand coup. La remise des diplômes aux filles et fils de la Grande Orientale toutes disciplines confondues. Décédés ou vivants, tout le monde a pu réaliser que ses prouesses ne sont pas restées dans les oubliettes. La seule et unique condition l’identité de la fille ou fils de la grande Orientale.

Cela paraissait aux yeux des sceptiques hier comme une mission impossible, en référence bien sûr aux mauvaises pratiques devenues presqu’une deuxième nature de la plupart des compatriotes. C’est le contraire qui a été vécu. On est là dans le domaine des constructions anarchiques en République Démocratique du Congo dont l’épicentre se trouve être dans la capitale, Kinshasa.

Une semaine après le bouclage du Camp Kokolo, où les services spéciaux de l’armée recherchaient des civils et des criminels qui y avaient élu domicile, c’était hier lundi 24 août 2015, le tour du quartier Musey, voisin du Camp Colonel Tshatshi, dans la commune de Ngaliema.

Thérèse Lokany poursuit Bijou Odiko au tribunal de paix de Ndjili pour occupation illégale. Une affaire similaire est pendante au Tribunal de Grande Instance de Matete. Cette affaire est enrôlée au Tripaix Ndjili sous RP 14553.

Anne Marie Bosio, Belge d’origine congolaise, et Tshimbo Kabongo déférés en justice pour plusieurs d’infractions dont la destruction méchante, les imputations dommageables, de la diffamation, vol, ont dénoncé le défaut de qualité ainsi que l’obscurité dans le libellé dans la citation directe qui a saisit le Tribunal de Grande instance de Matete. Argument développés à l’audience publique tenue, hier lundi 24 août 2015, sous le RP 6092.

A l’immeuble Bahati, ex-3Z, deuxième niveau, avenue roi Baudouin, siège du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, les hauts conseillers membres de l’instance de régulation des médias sont sur le départ. Ici, comme là-bas, ils font leurs valises après quatre années passées au sommet de l’ex-Ham (Haute autorité des médias), Elus pour un mandat de quatre ans, la dizaine d’hommes et femmes arrivés fin mandat depuis, sont appelés à passer le témoin. Déjà, les candidatures, apprend-on, se ficellent et de nouvelles ambitions s’affichent.

Les pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) sont déterminés à lutter contre les menaces de la cybercriminalité. Un atelier régional sur ce thème se tient à Kinshasa depuis hier lundi 24 août pour définir une politique commune de lutte contre ce mal qui ronge l’humanité toute entière. Pendant trois jours, les experts de cette organisation régionale africaine vont réfléchir sur les grandes options devant faire l’objet d’une politique commune susceptible de mettre hors d’état nuire les menaces liées aux effets de la cybercriminalité.

Huit sociétaires des clubs de l’Entente Urbaine de Handball de Mbuji-Mayi ont fait part de leur indignation au président de la Fédération nationale de Handball. Ce, à travers un mémorandum de quatre pages, dont une copie a été transmise au bureau provincial de La Tempête des Tropiques le Week-end passé. Les 8 dirigeants des clubs sociétaires disent en avoir assez des multiples ingérences du président de la ligue fictive de Handball du Kasaï Oriental, dans sa nouvelle configuration.

Pour prévenir les violences pendant le processus électoral en RDC Durant trois jours, les Amis de Nelson Mandela pour la Défense des Droits Humains (ANMDH), une Organisation Non-Gouvernementale de défense et de promotion des droits de l’homme, a organisé une session de formation sur les droits de l’homme, à l’intention de 100 participants venus de différentes couches de la population de la capitale. La session a porté également sur l’exercice des libertés publiques et les techniques d’observation des manifestations publiques pendant le processus électoral en RDC.