La désignation de nouveaux animateurs de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) continue à semer la controverse dans les milieux des confessions religieuses.
Au cours d'une déclaration devant la presse, ce samedi 13 juin 2020, l'archevêque général de l'Eglise de réveil du Congo Albert Kankienza Mwana Mbo a proposé que le processus enclenché soit suspendu pour chercher un large consensus devant conduire à la désignation d'un président moralement irréprochable, compétent, impartial et qui ne soit pas inféodé à aucune formation partisane.
Société
Comme à l’accoutumée, l’élection du candidat président de la CENI a suscité beaucoup de passion. Difficile de faire la part du vrai et de l’ivraie quand on sait que dans ce genre de contexte, chacun tire le drap de son côté. Dans la foule d’opinions qui ont suivi l’élection de Ronsard Malonda comme candidat président de la centrale électorale congolaise, deux publications donnent le contour de cette opération complexe. Comme deux faces d’une même réalité, un article d’ Africa News et une tribune de l’expert en questions électorale, Jérôme BONSO font toute la lumière sur cette élection.
Tout le monde le sait, mais personne n’aborde la question dans son contexte, et enfin, c’est la population qui en est victime.
Tous savons que ce conflit date de depuis l’indépendance, conflit autour de la légitimité du pouvoir, à savoir qui détient réellement le pouvoir entre le politique (exécutif et législatif) et le judiciaire.
C’est le politique qui a toujours gagné ce combat, alors que la séparation des pouvoirs veut qu’il soit détenu par les trois pouvoirs au même moment.
Le gouvernement congolais envisage de racheter la résidence de l'artiste musicien Jules Shungu Wembadio, dit papa Wemba, mise en vente par sa famille, pour en faire un musée.
C'est ce qui ressort de l'option levée lors de la réunion du 35ème conseil de ministres, tenue le vendredi 12 juin 2020.
L'Union pour la Nation Congolaise (UNC), appelle 6 de ses élus cosignataires d'une pétition contre les membres du bureau de l'Assemblée provinciale du Sud-Kivu , parmi lesquels figure maitre Bisimwa Yabe Ntaintunda, cadre de l'UNC, à cesser leur démarche.
C'est le contenu d' un communiqué daté du 12 juin, dont la copie est parvenue à 7SUR7.cd ce samedi 13 juin 2020.
Les organisations de la société civile acquises aux réformes électorales préalables appellent à l'arrêt du processus de désignation des membres de la Commission Électorale Nationale et Indépendante (CENI), en vue d'appuyer préalablement la mise en œuvre des réformes électorales.
L'ex-première dame de la République Démocratique du Congo, Olive Lembe Kabila a offert 4 tonnes des produits pharmaceutiques à la zone de santé de la ville d'Uvira en province du Sud-Kivu ce samedi 13 juin 2020, en vue d'apporter une assistance médicale aux sinistres des récentes inondations dont cette ville a été victime.
À l’occasion de la journée internationale de l’albinisme célébrée le 13 juin de chaque année, les Nations-Unies déplorent le fait que même en cette période de crise sanitaire provoquée par la covid-19, les personnes atteintes d'albinisme continuent de subir toutes sortes de violations des droits de l'homme dans certains pays.
Pour vaincre cette stigmatisation, la fondation Jaures par l'entremise de son président, exhorte les albinos Congolais à la pugnacité en vue de transformer leurs fragilités en force.
La Nouvelle Génération Tshisekedi (NGT), une structure affiliée à l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a présenté ses vœux au chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à l'occasion de son anniversaire de naissance.
(Ci-dessous, le message de la NGT)
Des présumés rebelles d'Allied Democratic Forces (ADF) ont fait incursion dans le village Kekelibo, dans la localité de Bakila-Tenambo, en secteur de Beni-Mbau situé à plus au moins 2 km d'Oïcha-Centre (Nord-Kivu), dans la soirée du vendredi 12 juin 2020.
Nicolas Kikuku, bourgmestre de la commune d'Oïcha avance à 7SUR7.CD, un bilan provisoire de 4 civils tués dont deux femmes.
L'information est également confirmée par la société civile d'Oïcha. Elle affirme que les victimes ont été exécutées par armes blanches.