Politique

Les députés nationaux et les sénateurs retrouvent le chemin de l'hémicycle ce lundi 16 septembre 2024, après quelques mois de vacances parlementaires, passés pour certains, dans leurs bases et circonscriptions électorales. L'ouverture solennelle de cette session connaîtra la participation de plusieurs autorités et institutions du pays. Pour la chambre basse du Parlement, la particularité de cette session sera marquée par la présence du président de l'Assemblée nationale de la Côte d'Ivoire, Adama Bictogo, invité par  son homologue congolais Vital Kamerhe.

La députée nationale, Maguy Rwakabuba, a échangé le samedi 14 septembre 2024, avec la ministre des Affaires sociales Aziza Munana, sur la question relative au programme du gouvernement en rapport avec la prise en charge des orphelins et veuves des militaires tombés sur le champ de bataille. De ce fait, l'élue de Rutshuru appelle le gouvernement à élargir ce programme dans d'autres provinces, plus précisément dans le Grand Kivu.

Le président de l'Assemblée nationale, Vital Kamerhe, a consulté,  samedi 14 septembre 2024, les présidents de groupes parlementaires dans le but de préparer l'ouverture de la session ordinaire qui sera essentiellement budgétaire. Plusieurs questions ont été abordées lors de cette réunion, notamment celle relative à la mise en place des commissions parlementaires.

Le président de l'Assemblée nationale, Vital Kamerhe, a échangé le samedi 14 septembre 2024 avec la délégation du caucus des députés nationaux du Nord-Kivu, conduite par Jacques Safari, élu de Masisi. Les discussions ont tourné autour de la situation sécuritaire et humanitaire qui prévaut dans cette partie de la République démocratique du Congo.

Le député provincial élu de la ville de Tshikapa, Cédric Musongo Mukaba, condamne des arrestations qu'il qualifie d'arbitraire orchestré par les services de sécurité à Bakwakenge, en territoire de Mweka, au Kasaï. Dans une déclaration faite à 7SUR7.CD, ce samedi 14 septembre 2024, cet élu appelle les autorités compétentes à diligenter des enquêtes, afin d'établir les responsabilités.

Interpellé le lundi 2 septembre 2024 par l’Agence nationale de renseignement, l’opposant congolais Seth Kikuni a été auditionné, tard dans la soirée du vendredi 13 septembre, au Parquet général près la Cour d’appel de la Gombe (Kinshasa).  Contacté par la rédaction de 7SUR7.CD, maître Ramazani Shabani, un de ses avocats, a fait savoir que les griefs mis à charge de leur client sont : la propagande de faux bruits et l’incitation à la désobéissance civile.  Des accusations que les proches et avocats du président de Piste rejettent et jugent "infondées".  

L’opposant congolais Seth Kikuni a été auditionné ce vendredi 13 septembre 2024, au parquet général près la Cour d’appel de la Gombe, à Kinshasa. D’après ses avocats, contactés par 7SUR7.CD, le président du parti Piste a été transféré au parquet dans la soirée de ce même vendredi par l’Agence nationale de renseignement, après plus de 10 jours de détention. Sans en dire plus sur les motifs de sa mise en accusation, les avocats de Seth Kikuni disent attendre les résultats de l’enquête du parquet et sa décision. Ce dernier a été ramené à l’ANR, après son audition.

Lors de son intervention le jeudi 12 septembre 2024, au panel consacré à la problématique de la production, la collecte, la gestion et la transformation des déchets, tenu dans le cadre de la 8ᵉ édition de l’ExpoBeton, le gouverneur Daniel Bumba Lubaki, a martelé sur la responsabilité de chaque Kinois dans l’assainissement de la ville de Kinshasa. 

Dans une note vocale partagée à la rédaction de 7SUR7.CD, ce vendredi 13 septembre 2024, par le parti Piste de Seth Kikuni, l’épouse de ce dernier, Laureine Kabwiz, affirme que son mari ne se trouve pas dans les locaux de l’ANR, où il était censé être après son interpellation. Douze jours sans nouvelle, l’épouse de Seth Kikuni s’était rendue à l’Agence nationale de renseignements le jeudi 12 septembre dernier, pour solliciter l’audience auprès de l’administrateur général et voir son époux.

Le gouvernement de la République Démocratique du Congo a confié au ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, la mission de faire de la réforme de la TVA une priorité. Cette réforme vise à maximiser la mobilisation des ressources internes en optimisant la collecte de la TVA grâce à l’introduction de la facture normalisée, une mesure clé pour améliorer le rendement fiscal.