Politique

Dans une interview accordée à la presse le vendredi 4 octobre 2024, le député national Joseph Bangakya a souligné la nécessité d'une répartition stratégique des fonds, en mettant l'accent sur les secteurs d'activité et prioritaires tels que la sécurité, la diplomatie, les infrastructures et tout secteur porteur de croissance, en prévision du vote du budget 2025, chiffré à 18 milliards de dollars.

La vice-ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et de la Francophonie, Gracia Yamba Kazadi, a échangé ce vendredi 4 octobre 2024 à Kinshasa avec Didier Larroque, chargé d'affaires intérimaire à l'ambassade de France en République Démocratique du Congo. Les deux personnalités ont discuté sur la question concernant les Congolais de la diaspora française, particulièrement ceux et celles vivant à Mayotte.

L’ambassade de la RDC à Conakry, en Guinée, est dans un état de délabrement très avancé. Les diplomates auraient déserté leurs bureaux pour travailler dans un garage. L’alerte est donnée par Emmanuel Ilunga, ancien ministre délégué aux Affaires étrangères chargé des congolais de l’étranger. Selon lui, il serait préférable que cette ambassade ferme si le gouvernement ne peut pas la réhabiliter.

Une délégation de l'Union africaine (UA) est arrivée à Kinshasa pour évaluer la situation humanitaire en République démocratique du Congo. Elle a été reçue, jeudi 3 octobre 2024, par la vice-ministre aux Affaires étrangères, Coopération internationale et Francophonie, Gracia Yamba Kazadi.

Le ministre des Hydrocarbures Aimé Sakombi Molendo était à la tête d'une délégation qui a rencontré son homologue angolais Diamantino Pedro Azevedo, Ministre des Ressources Minérales, Pétrole et Gaz et sa grande suite, ce vendredi 4 octobre 2024. Selon une dépêche de la cellule de communication du ministère des Hydrocarbures, le face à face entre les deux délégations était précédé d'un échange en aparté entre les deux personnalités

Le renforcement de la collaboration entre militaires et civils dans l'Est de la RDC reste l'une des solutions pour faire face et endiguer l'insécurité qui sévit dans cette partie du pays, causée  les rebelles de  l'ADF et du M23-RDF. C'est bien ce que soutient Carly Nzanzu Kasivita, député national du Nord-Kivu. À l'en croire, les secteurs vitaux étant interdépendants, la sécurité dépend de la gouvernance administrative, de la construction d'un système de défense efficace et de la collaboration entre les civils et les militaires.

Amanda Masudi, candidate députée nationale, initie à Masi-Manimba, dans le Kwilu, la campagne « Beto me Buya », entendez « nous refusons ». C'est une initiative  particulièrement importante, selon elle, dans un contexte où les antivaleurs menacent de plus en plus le tissu social de nombreuses communautés dans cette partie du pays.

Le président de l'Assemblée nationale, Vital Kamerhe, a présidé, le jeudi 3 octobre 2024, une réunion avec les présidents des groupes parlementaires sur la nécessité de la mise en place des 10 commissions permanentes que compose la chambre basse du Parlement. Au sortir de la salle d'audience, le rapporteur de l'Assemblée nationale, Jacques N'djoli, a fait savoir qu'un terrain d'entente a été trouvé avec les présidents des groupes parlementaires afin d'aboutir à cette mise en place.

Comme annoncé, le chef de l’État Félix Tshisekedi, a échangé ce vendredi 4 octobre 2024 en tête-à-tête avec son homologue français Emmanuel Macron, à l’Élysée. Pendant plus d’une heure, les deux chefs d’État ont abordé des sujets d’intérêt commun entre leurs pays respectifs, notamment le renforcement de la coopération bilatérale et la question sécuritaire dans les provinces de l’Est de la République Démocratique du Congo marquée par une dégradation de la situation humanitaire à la suite de l’agression rwandaise.

Les députés nationaux de l’opposition, issus du groupe parlementaire du parti politique Ensemble pour la République, ont dénoncé jeudi 3 octobre 2024, des « manœuvres orchestrées » par les services de sécurité contre l'opposant Moïse Katumbi pour son arrestation suite à ses efforts de réhabiliter l'hôpital et la piste d'aviation de Mulonde, dans le territoire de Pweto. Dans une déclaration parvenue à 7 SUR 7. CD, ces élus ont déploré les intimidations à faire taire Moïse Katumbi en prévision du changement de la constitution.