Culture

Le claviériste Hugo Mbaki, hugo synthe pour le fanatique s’est effondré sur le podium pendant les séances de répétitions du mercredi 03 décembre 2014 a la Zamba playa, le siège de l’orchestre Wenge Musica maison mère. Un incident qui a interrompu la répétition du coup et a suscité divers interprétations à l’africaine. Werra lui-même témoin de l’événement a instruit de l’amener vite a centre hospitalier du même quartier vu l’urgence. Hugo synthé pour les intimes est arrivé au centre victoria sur à l’avenue Kanda-Kanda dans la commune de Kasa-vubu inconscient et épuisé pour les premiers soins.
Le go de la deuxième du festival international de graffiti et des arts urbains «KinGraff 2014» a été donné hier jeudi 11 décembre au centre Wallonie-Bruxelles par une conférence de presse. Cet événement culturel devra connaître son épilogue, le samedi 20 décembre prochain, par une nuit de graffiti où tout ce qui entoure l’univers hip-hop sera mis en valeur. Comme à la première édition, «KinGraff 2014» est organisé sous le thème «Peindre contre le VIH/SIDA».
Sa première édition en 2014, le festival «Amani» est loin de remettre son épée dans le fourreau. La ville de Goma dans le Nord-Kivu se prépare donc à accueillir sa deuxième édition l’an prochain.
Après avoir apporté leur touche artistique dans «Droit chemin», «Arsenal des belles mélodies», «Power-Kosa Leka» et autres singles, les musiciens accompagnant l’artiste Fally Ipupa se préparent à mettre sur le marché des disques l’opus «Libre parcours». Cette oeuvre devra, sauf imprévu, sortir dans les bacs, ce jeudi 25 décembre. C’est bien entendu sous la bénédiction du 3 fois «Hustler» que ce groupe d’accompagnement réalise cet opus. Cela grâce au concours du label de Fally Ipupa «F. victime».
Après Dakar et Kampala, c’est le tour à Kinshasa. La capitale congolaise organise pour la première fois une Biennale d’art contemporain. Une ville qui a vu naître des artistes tels que Chéri Samba ou Bodys Isek Kingelez, mais qui n’a aucune galerie, ni musée. Sous le thème « Avancer », « Yango » en lingala, la première édition de la Biennale veut questionner les caractéristiques expressives qu’offre le Congo, véritable source d’inspiration et mine d’idées pour les créateurs à travers le monde.
Accompagné de la danseuse chanteuse Mireille, l’artiste tradi-moderne Labe Ekopi Molo compte briser la baraque surtout qu’il est entrain de finaliser son album intitulé « Wendo osombi », contenant au total huit chansons, aux installations acoustiques des Editions Vévé Center de Kiamuangana Mateta Verckys « poumon d’acier », qui semble-t-il aurait passé une partie de son enfance dans le territoire d’Aketi, dans la province Orientale.
Mavatiku Michelino a marqué en lettres de noblesse ses prestations de guitariste dans de grands ensembles de musique congolais. Wuta Mayi compère du précité, a eu un parcours de chanteur- auteur- compositeur empli d’allégresse, dont l’apogée, dans les décennies soixante-dix et quatre-vingt a fait tache d’huile dans le contexte national et international. Malou et Patou, deux talentueuses du chant, ont également apporté leur concours à la réalisation de l’œuvre qui est attendue sur le marché.
Les enseignants étaient renseignés que les forêts telles qu’elles existent de par le monde, sont indispensables à la vie sur terre. Leur importance repose sur les nombreux rôles qu’elles jouent notamment structurer le paysage et produire des matières premières dont vivent près de 300 millions de personnes ; influencer le cycle de l’eau et participer à sa gestion ; influencer la qualité de l’air et le climat… Sa protection ainsi que sa gestion sont considérées en ce jour comme des tendances socioculturelles fortes et durables. Cela nécessite une information de toutes les générations.
La 3ème édition du festival international d’humour TOSEKA se tiendra du 25 au 30 août 2015 à Kinshasa. Pour la réussite de cet événement, les préparatifs ont été lancés depuis le 8 décembre dernier au centre Wallonie-Bruxelles avec un calendrier bien détaillé qui s’étale sur 9 mois. Le spectacle offert au public le week-end dernier était la restitution de l’atelier du 1er décembre, renseigne un communiqué de presse dudit festival. Le premier atelier était animé par Kody Kim au Collège Boboto.
L’Art est un outil puissant et original, servant à communiquer dans les domaines cruciaux de la société (santé, prévention, hygiène, organisation sociale, droits de l’homme, le respect des femmes, etc.). Partant de cette idée, vingt étudiants de l’Académie des Beaux- Arts ont procédé pendant trois semaines, au changement de la peinture murale de la clôture dirigée vers l’avenue 24 novembre, on la remplaçant par une nouvelle. Une manière bien propre ç ces artistes de communiquer avec le public sur le vécu quotidien du peuple.