Après sa réaction contre la fronde du G7 : Katanga, Alexis Kalwazi Chansa écrase les intentions prêtées à Kabila !

Jeudi 29 octobre 2015 - 05:56

Lorsqu’on scrute minutieusement  l’horizon politique de la R.D. Congo, il y a lieu de  constater  que le ciel est clair, même s’il est, parfois,   parsemé de quelques cumulus  que certains croient être des signes  précurseurs des pluies alors  que d’autres, par contre,  considèrent  qu’ils  augurent la venue du   beau temps.  Face à ce dilemme, Alexis Kalwazi Chansa, Président Fédéral de l’Alliance des Sociaux-démocrates, dans l’ex-Katanga,  ne se voile pas la face. Ici,  il répond clairement à la question qui lui a été posée au sujet des intentions prêtées au Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange,   sur cette ténébreuse affaire liée à  la révision  Constitutionnelle. Et, pourtant, l’histoire récente de sa  dernière rencontre de Kingakati, à quelque 80 Km de Kinshasa,  la capitale,   avec les Députés et Sénateurs, aurait dû calmer les ardeurs des uns et des autres. Kalwazi, depuis Lubumbashi, remet les clepsydres à l’heure. Il recourt à la sagesse de la Bible, pour illustrer sa pensée et démontrer que Kabila mérite mieux que les  diatribes immodérées qu’il écrase, du reste, en bloc. 

Alexis Kalwazi Chansa dit qu’il est de ceux qui pensent que le Président de la R.D. Congo, Joseph Kabila Kabange,  surprendra plus d’un congolais. Kalwazi est convaincu par le sens poussé d’observation du Chef de l’Etat qu’il  a, lui, transformé personnellement en une sagesse très profonde et qu’il admire.

En effet, ces qualités sont loin d’être répandues parmi les frères congolais. Le Chef de l’Etat a la capacité d’écoute et d’encaisser,  sans rien dire. Alexis croit que c’est un don qui est proche de cette personne qui avait dit : « On ne parle que quand on a à dire. Sinon, mieux vaut se taire ».

Et,  Alexis aime cela. Non par fanatisme  mais,  plutôt,  par conviction car pour lui, en effet,  il s’agit là d’une école de la vie. Cela crée une certaine puissance de maîtrise de soi difficile à imaginer. C’est vrai que bon nombre de compatriotes ont toujours voulu exhiber leur intelligence par un jeu de questions-réponses.

Mais,  aujourd’hui, en tant que président fédéral du parti Alliance des Sociaux-démocrates, ASD en sigle, Alexis Kalwazi Chansa observe une école peu exploitée et encore  moins connue par les sociétés africaines. Il s’agit de cette école où l’on travaille en silence et où l’on n’hésite pas à joindre l’utile à  l’agréable. Quoi de plus normal qu’une personne posée ne puisse pas donner de réponse à une question sans objet. Ça serait tout simplement une façon d’enfoncer une porte grandement ouverte.

Alexis voit très mal que des efforts,  longtemps consentis par le Chef de l’Etat,  soient anéantis par des idées saugrenues. Le président de la République a été,  comme toujours,  animé par un grand  souci ; celui  de la  recherche de la paix et du  développement de son  pays, la RD. Congo.  A ce niveau, l’activiste politique Alexis Kalwazi Chansa se réfère à la bible,  en citant l’adage qui dit : « On ne verra pas un parent qui aime bien son enfant lui donner une pierre à la place d’un pain ! ».

En définitive, Alexis Kalwazi Chansa demande ainsi  à ses frères congolais d’être objectifs et de ne pas prêter le flanc à des politiciens mal intentionnés, qui ne visent que leurs propres intérêts et qui, malheureusement,  semblent ignorer tous les efforts que déploie l’Autorité Suprême  du, pour le bien du  peuple congolais.

En fait, ce qui devrait nous préoccuper, c’est plutôt la paix. C’est cette paix chèrement acquise qui  permettra de mener à bon port la démocratie naissante. Et,  c’est ainsi qu’elle deviendra solide et pérenne.

La Pros. (Avec Cyprien Mwewa Seya)