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Les Evêques catholiques notent déjà des avancées prometteuses dans le travail des consultations des acteurs politiques et de la société civile, débuté la semaine dernière, en prélude du Dialogue national inclusif en République démocratique du Congo. C’est ce qu’a déclaré hier mardi 16 juin, à Kinshasa, Mgr Marcel Utembi, président de la Conférence épiscopale national du Congo (Cenco), au sortir d’un entretien avec le facilitateur, Edem Kodjo.
" Les évêques sont venus échanger avec le facilitateur sur ce qui constitue déjà de petits pas, mais surtout sur l’essentiel, qui est la vie du peuple congolais, l’avenir de la population congolaise, en vue d’attirer l’attention des uns et des autres sur cet essentiel. Ils ont échangé avec le facilitateur en disant que ce travail doit se poursuivre. On est dans une perspective et on garde espoir. Il faut aller de l’avant, parce que tout le monde estime que ce dialogue peut être porteur d’un avenir meilleur pour la nation. Donc, il faut continuer", a-t-il insisté.
A en croire Mgr Marcel Utembi, les évêques ont promis à Edem Kodjo de continuer à lui apporter leur soutien dans son travail immense pour l’intérêt du peuple congolais. "Aujourd’hui, c’est un échange franc et sincère, en voyant tout ce qui se présente sur le chemin et en prenant la ferme résolution, l’engagement d’aller de l’avant. Convaincu que des pasteurs qui sont des hommes de Dieu, que l’espérance ne trompe jamais, c’est dans l’engagement à faire ces petits pas qu’on arrive au bout du chemin ", a-t-il souligné. SATISFACTION
La Cenco se dit satisfait du " capital confiance " qu’elle ne cesse de bénéficier de la classe sociopolitique congolaise. " Ce qui était important pour les pères évêques, c’est d’abord le capital confiance des uns et des autres. Vous avez vu ! Ils sont venus tant du côté de la Majorité que de l’Opposition à parler aux pères évêques qu’ils considèrent comme des pères spirituels. Ce capital confiance est important. Les évêques ont écouté les uns et les autres et maintenant comme c’est une perspective. Comme le travail continue, il faut rentrer et partager avec les autres, ce qui a été dit d’un camp à l’autre pour aller vers l’essentiel, l’avenir de la nation, la vie du peuple congolais ".
C’est pour cette raison que les évêques de la Cenco avaient levé l’option d’apporter leur sollicitude pastorale en appui au facilitateur, après avoir apprécié tout ce qui se fait, a fait remarquer Mgr Utembi. "Voyant que le dialogue est la voie royale en démocratie pour régler des problèmes qui étaient dans l’impasse, ils ont voulu rencontrer les acteurs politiques et les acteurs de la société civile pour échanger et voir ce que l’on pouvait faire ensemble pour la tenue du dialogue et pour relancer le processus électoral. Et donc, c’était ce contact que vous avez vu tout au long de la semaine passée. "
Mgr Marcel Utembi se réjouit du fait que le Facilitateur ait apprécié l’initiative des évêques. " Tous les efforts qui ont été conjugués ensemble pour aller de l’avant sont appréciés par les acteurs politiques et la société civile, mais aussi par le facilitateur. Mais, le travail continue. On va travailler ensemble, les uns avec les autres et non les uns contre les autres pour espérer obtenir un bon résultat à la fin. Car, l’organisation du dialogue dépend de la volonté politique de la part de tous les acteurs ", a-t-il conclu. MOLINA
A en croire Mgr Marcel Utembi, les évêques ont promis à Edem Kodjo de continuer à lui apporter leur soutien dans son travail immense pour l’intérêt du peuple congolais. "Aujourd’hui, c’est un échange franc et sincère, en voyant tout ce qui se présente sur le chemin et en prenant la ferme résolution, l’engagement d’aller de l’avant. Convaincu que des pasteurs qui sont des hommes de Dieu, que l’espérance ne trompe jamais, c’est dans l’engagement à faire ces petits pas qu’on arrive au bout du chemin ", a-t-il souligné. SATISFACTION
La Cenco se dit satisfait du " capital confiance " qu’elle ne cesse de bénéficier de la classe sociopolitique congolaise. " Ce qui était important pour les pères évêques, c’est d’abord le capital confiance des uns et des autres. Vous avez vu ! Ils sont venus tant du côté de la Majorité que de l’Opposition à parler aux pères évêques qu’ils considèrent comme des pères spirituels. Ce capital confiance est important. Les évêques ont écouté les uns et les autres et maintenant comme c’est une perspective. Comme le travail continue, il faut rentrer et partager avec les autres, ce qui a été dit d’un camp à l’autre pour aller vers l’essentiel, l’avenir de la nation, la vie du peuple congolais ".
C’est pour cette raison que les évêques de la Cenco avaient levé l’option d’apporter leur sollicitude pastorale en appui au facilitateur, après avoir apprécié tout ce qui se fait, a fait remarquer Mgr Utembi. "Voyant que le dialogue est la voie royale en démocratie pour régler des problèmes qui étaient dans l’impasse, ils ont voulu rencontrer les acteurs politiques et les acteurs de la société civile pour échanger et voir ce que l’on pouvait faire ensemble pour la tenue du dialogue et pour relancer le processus électoral. Et donc, c’était ce contact que vous avez vu tout au long de la semaine passée. "
Mgr Marcel Utembi se réjouit du fait que le Facilitateur ait apprécié l’initiative des évêques. " Tous les efforts qui ont été conjugués ensemble pour aller de l’avant sont appréciés par les acteurs politiques et la société civile, mais aussi par le facilitateur. Mais, le travail continue. On va travailler ensemble, les uns avec les autres et non les uns contre les autres pour espérer obtenir un bon résultat à la fin. Car, l’organisation du dialogue dépend de la volonté politique de la part de tous les acteurs ", a-t-il conclu. MOLINA