Initiative du Gouvernement congolais, financé par la Banque mondiale à hauteur de 120 millions de dollars américains, le Programme d’appui à la réhabilitation et à la relance agricole (PARRSA) s’investit depuis quatre ans pour le bien-être d’une centaine des ménages dans la province de l’Equateur et à Kinshasa.
Société
L’accès à l’eau potable dans une ville aussi gigantesque que Kinshasa est un défi énorme. Et ce n’est pas la faute à la Regideso qui gère l’eau dans le pays.
Malgré le paiement de la taxe sur la salubrité, la plupart des lieux de vente de Kinshasa ne sont pas toujours propres. Les vendeurs assujettis à cet impôt se plaignent de cet état de chose.
Faire ses courses après la pluie n’est pas chose aisée dans la plupart des marchés de la capitale. Pendant que l’Hôtel de ville et les communes renforcent le recouvrement de la taxe sur la salubrité, les immondices, elles, continuent de s’entasser. Au marché central de Kinshasa, le constat reste le même.
Malgré la volonté du gouvernement d’améliorer le niveau de vie des Congolais, force est de constater qu’il ne cesse de baisser. C’est comme si le pays revenait à la décennie 90, période dite de la croissance négative.
Quartier Bobozo, non loin du rail, dans la commune de Limete. François Malubu, sa femme, ses enfants et quelques-uns de ses petits-fils vivent dans une pièce de trois mètres sur deux, appelée communément « studio» à Kinshasa. Chômeur, le père de famille vit au rythme du lever et du coucher du soleil.
Dans les différents marchés de Kinshasa, tout un commerce se crée autour de bouteilles en plastique usagées. Les acheteurs les remploient, ensuite, pour la vente d’autres produits.
Cela fait plus de trente-cinq ans que ce cinquantenaire évolue dans le négoce au marché Gambela, dans la commune de Kasa-Vubu. Il est, d’ailleurs, chef d’un « pavillon » de plus de trente vendeurs d’accessoires usagés comme les boîtes de conserve, les bouteilles en verre et en plastique. Sur les étals, les bouteilles en plastique, très prisées actuellement dans la ville, sont en grand nombre.
Autrefois exportatrice d’électricité, la RDC est devenue, en partie, importatrice. En même temps, les plaintes des clients sur la mauvaise fourniture en électricité ne cessent d’augmenter. L’entreprise nationale semble à bout de souffle.
Le secteur de l’énergie en République démocratique du Congo éprouve d’énormes difficultés. Malgré les capacités du barrage d’Inga, dont les potentialités peuvent servir une bonne partie de l’Afrique, plusieurs coins du territoire congolais ont toujours du mal à être desservis.
Plus la vérité se fait chaque jour sur la lettre du ministre de I’EPTPS aux SPP, plus il devient évident qu’il s’agit d’une mauvaise décision, qui risque de dynamiter profondément la paix sociale à quelques jours du discours du Président de la République à la Nation via le Parlement réuni en Congrès.
Le ministre de l’Emploi, travail et prévoyance sociale, Modeste Bahati Lukwebo, a pris, le 10 novembre, des sanctions à l’encontre de 49 services privés de placement, tous interdits d’activité en RD Congo.
Ce centre médical est l’œuvre de l’ONG internationale belge « Action Damien ».
Réunie du 13 au 15 novembre en session extraordinaire à Kisantu.
Aux syndicats, il est prié de s’en tenir au mot d’ordre de la hiérarchie pour éviter tout dysfonctionnement de l’appareil judiciaire
Au terme d’une session extraordinaire tenue du 13 au 15 novembre 2014 à Kisantu, dans la province du Bas-Congo, le Collectif des avocats et des magistrats africains pour la bonne gouvernance judiciaire (Camabgj), Organisation non gouvernementale de lutte contre les antivaleurs en milieux judiciaires, Section République Démocratique du Congo, a formulé une série de recommandations pour trouver une so
Ces assaillants cherchaient à mettre la main sur le coffre-fort du Père-curé et celui du bureau des religieuses de cette paroisse catholique située non loin du Palais de la Nation, de la Primature, de la Banque centrale du Congo et de plusieurs autres institutions importantes du pays !
La Paroisse catholique Sacré cœur, dans la commune de la Gombe à Kinshasa, a reçu la visite dans la nuit du samedi 15 au dimanche 16 novembre 2014, des hommes en uniforme et bien armés.