L’auteur de la question d’actualité, le député national Toussaint Alonga, a invité le ministre des Affaires foncières, en vue d’obtenir de lui la suite réservée à la spoliation du site agricole de Kingabwa dans la commune de Limete. Ce site fait l’objet d’un conflit foncier entre les mamans maraichères d’une part et M.
Société
La province du Katanga (sud-est) compte à elle seule près de 600.000 déplacés internes, selon le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) qui se dit très préoccupé de la «catastrophe humanitaire» qui sévit au Katanga».
Dans son rapport publié mardi 18 novembre, l’agence onusienne dénombre près de 600 000 déplacés internes dans cette province, dont 71 000 seulement sont pris en charge, rapporte Radio Okapi mercredi.
Depuis New York, les responsables du HCR appellent les autorités congolaises et la Monusco à redoubler d’efforts pour mettre fin à la violence dans les régions
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) a décaissé 250 000 USD que le gouverneur du Kasaï Oriental (centre du pays), Alphonse Ngoy Kasanji, a remis récemment aux dirigeants de la société Energie du Kasaï (ENERKA) pour « réhabiliter les 2 autres machines » du barrage hydro-électrique de Tshala, « en panne depuis quelques semaines ».
« Deux machines sur quatre ont été remises en service, fournissant environ 3 000 kilowatt. Il faudrait atteindre le seuil de 6500 kilowatt car la Miba aura grandement besoin de l’énergie électrique pour la production du diamant.
Le manque des latrines mais également de l’entretien du peu qui existe continue de poser un problème de santé publique, tant au centre-ville que dans les quartiers périphérique de Kinshasa. Un reporter de Radio Okapi l’a constaté mercredi 19 novembre, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale des toilettes.
Dans plusieurs bâtiments publics de la capitale, les installations sanitaires sont soit bouchées ou dans un état d’insalubrité très avancé.
L’anarchie observée sur les routes de Kinshasa pose un sérieux problème de sécurité. D’une part, dans un flagrant laisser-aller, les conducteurs de transports en commun violent impunément le code de la route, mettant ainsi en danger les autres usagers de la route.
Avec la condamnation de deux officiers supérieurs der service de sécurité (Police et Armée) et d’une dizaine de soldats, c’est un signal fort que vient d’envoyer le gouvernement à l’endroit des violeurs, de la communauté nationale et internationale.
Selon le rapport d’enquête publié par Human Rigthts Watch, l’opération menée par la Police dans la capitale congolaise a été entachée d’exécutions sommaires de 51 jeunes et de disparitions forcées de 33 autres personnes.
Un mois après la publication par le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’homme (BCNUDH) de son rapport sulfureux dénonçant les exécutions sommaires et disparitions forcées commises par la Police dans l’opération Likofi, Human Rights Watch(HRW) vient d’enfoncer le clou avec un autre rapport tout aussi accablant qui accuse la Police congolaise d’avoir tué 51 jeunes
Ces marginaux ont commis plus de crimes que ceux relevés par Human Rights Watch et le Bureau conjoint des Nations-unis aux Droits de l’Homme.
Après le rapport sur l’opération « Likofi » produit par le directeur du bureau conjoint des Nations-Unies aux Droits de l’Homme, Scott Campbell, un autre rapport vient de tomber, celui de l’ONG international HWR (Human Rigthts Watch) qui relève, une fois de plus, des violations graves des droits l’homme commises par les éléments de la police pendant la fameuse opération.
Les deux rapports dénoncent des exécutions sommaires de la police, et un doigt accus
Ces malfrats ont été surpris vers 2 heures du matin, dans la nuit du samedi 8 à dimanche 9 Novembre 2014 par des éléments de la Police nationale congolaise en patrouille.
Des informations concordantes parvenues à notre rédaction provinciale dans la nuit du Jeudi 13 Novembre 2014 font état du meurtre, en pleine cité de Mbanza-Ngungu et dans des circonstances pour le moins louches, d’une étudiante de 3ème graduat de l’Université Kongo à Kisantu.
Selon nos sources, le corps de la victime a été retrouvé poignardé et saignant le lundi 10 Novembre 2014 derrière la morgue de l’Hôpital Général de Référence de Nsona-Nkulu, grâce aux pleurs de son bébé de 9 mois qui ont alerté les habitants du quartier.
A en croire es sources, le bébé a été trouvé collé aux seins de sa