Politique

Il y a une semaine, le journal belge Dernière Heure (DH) publiait un article dans lequel il confirmait l’empoissonnement du président du TP Mazembe. « Le mal a été diagnostiqué lors d’un check-up à Londres. Le gouverneur Moïse Katumbi a dû passer un mois aux soins intensifs et il en a encore jusqu’à la fin du mois », a écrit la DH citant un ministre congolais. Ce dernier, renseigne le journal belge, a parlé « scénario digne des Borgia à la sauce congolaise ».

Les ateliers de réflexion organisés par e Parti Lumumbiste Unifie (PALU) en marge de la célébration de ses cinquante ans d’existence se sont transformés samedi 15 novembre dernier en une véritable tribune d’expression libre Tel dans un parlement démocratique, des orateurs de diverses tendances politiques- majorité et opposition- se sont exprimés sans ombrage sur des questions de haute portée politique dans une ambiance aux couleurs de la cohésion nationale.

Entre-temps au Bas-Congo, échanges d’informations électorales en prévision de l’affichage par la CENI des listes provisoires des électeurs aux sites de vote et de leur consultation par des électeurs! Le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), l’abbé Apollinaire Malumalu Muholongu, a reçu, le vendredi 14 novembre dernier en son cabinet de travail à Kinshasa, une délégation constituée d’experts des Nations Unies basés à New york venue spécialement en RD Congo s’enquérir de l’évolution du processus électoral 2013-2016.

Après près de deux semaines de discontinuité, les sénateurs ont renoué avec les séances plénières le vendredi 14 novembre 2014, sous l’habituelle conduite du président de la chambre haute, Léon Kengo wa Dondo. A cette occasion, les élus ont voté à l’unanimité la loi relative au crédit-bail, après qu’ils aient adopté le rapport de la commission économique financière y relatif.

Le secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Abdou Diouf, a estimé dimanche que « deux mandats suffisent largement » à la tête d’un Etat en Afrique, même s’il a exercé quatre mandats à la présidence du Sénégal.

Germain Katanga ne fera pas appel de sa condamnation à 12 ans de prison par la Cour pénale internationale, a annoncé la Cour par un communiqué mercredi. L'ex-chef de milice a été condamné pour sa complicité dans la destruction en février 2003 d'un village du nord-est de la RDC. "L'ex-chef de milice congolais Germain Katanga a renoncé à faire appel de la peine de 12 ans de prison que la Cour pénale internationale (CPI) lui a infligée pour sa complicité dans la destruction en février 2003 d'un village du nord-est de la RDC", a annoncé, mercredi 25 juin, la CPI.

Ce grand opérateur économique revient pour prendre les rênes de l’ECT, parti politique de la majorité créé par le gouverneur Moïse Katumbi, et dont font partie aussi le ministre de la Santé Publique Félix Kabange Numbi et le ministre provincial de l’Agriculture du Katanga ! Depuis Bruxelles, on apprend que le richissime Katebe Katoto prépare un retour fracassant en RD Congo après une rencontre avec trois grandes personnalités du Katanga dans la capitale belge.

Grace à son indépendance et au traitement particulier de l’info, C-News est généralement très bien informé. Il était le premier média a livré, dans son édition du mardi 4 octobre 2014, une information sensible selon laquelle le gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi Chapwe, était victime d’un empoisonnement qui l’a conduit à s’éloigner momentanément de ses importantes charges publiques, de sa famille et de ses hobbies.

L’opposant Gabriel Mokia a violemment chargé le député Delly Sessanga dans l’édition C-NEWS du vendredi 14 novembre 2014. Selon l’ancien prisonnier du régime Kabila, Delly Sessanga roule désormais pour la majorité présidentielle. Il en veut pour preuve la proposition d’amendement de la loi électorale du président d’Envol que celui-ci aurait déjà déposé au bureau de l’Assemblée nationale.

L’ambassadeur de la RD-Congo en Ouganda vient de désenclaver le Sankuru. Au terme d’une visite de cinq jours dans cette partie de la province du Kasaï Oriental, ce haut cadre de la majorité présidentielle a mis à la disposition des habitants et visiteurs du Sankuru un bac. Cet engin aussi capital pour le transport et la traversée des personnes et des biens tombe à point nommé. Du fait que cette partie de la province diamantifère était restée enclaver pendant plusieurs années.