Digishine - Agency de Joël Kioni propose à des internautes congolais, organisations, entreprises et individus, son expertise technique pour gérer et développer leur notoriété sur la toile ainsi que veiller sur leur e-reputation.
Cette annonce a été faite à 7SUR7.CD le jeudi 7 juillet 2022 par son fondateur qui estime que l'expertise de son équipe pourra régler le problème d'abus sur les réseaux sociaux en entendant que l'Etat congolais puisse légiférer dans ce secteur.
« Digishine-Agency propose également la défense des droits des internautes en cas d’atteinte à votre vie privée. On met également à votre disposition des spécialistes du nettoyage d’information sur le Web... qu'il s'agisse de traquer, démasquer les diffameurs et supprimer les contenus compromettants », a-t-il dit.
À en croire Joël Kioni, la République démocratique du Congo n'a pas encore légiféré ni régulé l'usage de l'internet jusqu'à ce jour. Ce qui fait que, selon lui, plusieurs personnes, généralement publiques ainsi que des entreprises assistent impuissamment et impunément à des chantages et des diffamations parfois de la part des comptes ou pages masquées sur la toile.
« Il s’agit généralement de la divulgation de la vie privée comme moyen de s’attaquer à la réputation d’une personne sur Internet, et de divulguer des éléments de sa vie privée, cela concerne spécifiquement : La vie sentimentale de la personne ; sa situation matrimoniale ; la divulgation d’informations concernant la santé de la personne ; le droit à l’image, même dans un lieu public...il est primordial que les internautes ne se déresponsabilisent pas », fait remarquer cet expert en e-reputation.
Il estime que faire appel à des entreprises spécialisées dans la gestion de l’e-réputation (grâce à des outils de veille permanente comme son agence) permettra de valoriser l’identité d’une marque ou d’une personne et de faire descendre ou rendre introuvables les résultats négatifs sur Google.
En même temps, Digishine-Agency encourage les internautes à la prudence et à un usage responsable de l'internet faute de quoi, des poursuites peuvent être engagées contre eux par mécanisme de parallélisme compte tenu du caractère pénal de la diffamation tel que prévu à ce jour dans l'arsenal judiciaire en vigueur en RDC.
Moïse Dianyishayi