Une cinquantaine d’artistes, opérateurs culturels, chefs de services spécialisés et autres experts participent, du 15 au 18 mai, au premier séminaire sur la transformation des associations culturelles en entreprises culturelles créative. A l’initiative du gouvernement, ce forum offre la possibilité aux participants de choisir le type d’entreprise requise lors de la transformation de leurs associations respectives.
Le coordonnateur de ce séminaire, Crispin Yoka, cadre au ministère de la Culture et des Arts, explique le bien-fondé de ces assises:
«Actuellement, nos association sont régentées par le régime de sans but lucratif. Pour moi, il y a plus de conséquences que d’avantages. Quand, il y a par exemple dissolution d’une association, les propriétaires et les membres ne peuvent pas avoir les biens. Ils doivent les déverser dans un autre organisme de bienfaisance».