Sa musique va ensemble avec son charme et sa beauté physique. Barbara Kanam est cette étoile qui fait rayonner la scène continentale à travers sa voix séduisante. 15 ans durant, cette diva africaine a réussi à s’imposer dans l’arène musicale grâce à son style varié et sa thématique engagée pour le développement et le bien-être de la communauté.
Barbara Mutund Kanam récolte les fruits de son travail artistique bienfait qui ne laisse pas indifférent les promoteurs et mécènes des spectacles dans le monde. Elle est l’une des rares chanteuses dont la voix est très sollicitée plus que le pain en Afrique. Ce dernier temps, la diva représente son pays, la RDC, dans plusieurs manifestations. C’est signe, explique-t-elle, des retombées du succès récolté grâce à son dernier album «Zawadi» qui semble être un véritable porte-bonheur pour la cantatrice et un cadeau pour les amoureux de la bonne musique.
Cette œuvre est pimentée par des chansons lyriques et soutenue par une percutante chorégraphie nommée la danse «Président ». Le générique a beaucoup surpris le public. Ce dernier a dompté, avec admiration, la prouesse de Barbara qui a réussi à le convaincre au travers d’un style «Seben» congolais. Pourtant, une matière qu’elle n’exploite pas souvent dans sa musique.
Composé de très belles mélodies, «Zawadi» a ouvert plusieurs portes à sa génitrice qui devient plus sollicitée au niveau national jusqu’en dehors de frontières du Congo non seulement du côté artistique, mais aussi socioculturelle.
Sur le plan scénique, Kanam revient fraichement du Mali où elle vient de conclure un contrat qui va lui permettre de faire plusieurs concerts en Afrique de l’Ouest.
De retour à Kinshasa depuis le mercredi dernier, la patronne de Kanam Music n’aura pas le temps de se reposer vu les demandes de productions qui ne cessent de tomber sur sa table. Ce qui est évident, l’artiste a un agenda très serrée avec de dates bien calées jusqu’au mois d’octobre, renseigne-t-on. Elle est attendue aux Etats-Unis, au Mali, au Gabon, au Cameroun, Côte d’Ivoire ainsi qu’en provinces, en RDC.
Agenda de la Diva
Déjà, ce vendredi 22 juillet, la chanteuse va agrémenter la cérémoniale d’ouverture de la 9ème édition du Festival International des Etoiles (FIET) au Complexe GB/Shoprite, en plein capital.
Juste après cet événement, elle se rendra au Gabon pour honorer d’autres engagements dans le cadre de son travail. Il s’agit d’une grande tournée qui va conduire son orchestre dans différentes villes gabonaises où la star est vivement attendue pour faire des prestations du 23 au 28 juillet 2016.
Aussitôt rentrée, la génitrice de la chanson « La vie » va communier avec ses fanatiques, au cours d’une marche de santé le matin et d’un concert le soir, le 30 juillet, au siège de Kanam Music, sur l’avenue Echevin n°11, au quartier Beau-Marché, dans la commune de Barumbu. Ce sont des retrouvailles entre le public kinois et Barbara qui offre la bonne ambiance à travers cette production musicale. A cet effet, elle invite surtout les lauréats des examens d’Etat 2016, de venir nombreux pour célébrer leur réussite au rythme de «Zawadi », «Jardin Secret» et tant d’autres tubes à succès.
Après la Grande-Bretagne, le Brésil séduit
Il faut noter que Barbara est également invitée à la cérémonie de clôture de la Semaine Brésilienne en RDC où elle est choisie comme la marraine de l’évènement, par la communauté.
Toujours humble, la chouette artiste est très engagée pour honorer tous les mélomanes du monde qui croient en sa carrière. Elle remercie, en particulier, les fanatiques congolais qui ont fait confiance à sa musique. Malgré son calendrier très chargé, Barbara envisage de faire une tournée nationale, en commençant par l’intercommunale, au niveau de Kinshasa. ‘‘Je ne suis pas qu’une chanteuse VIP, ma musique est désormais à la portée de tout le monde. Je suis prête à jouer partout où vous allez m’inviter’’, a conclu la Grande Diva africaine.
On retiendra que Barbara Kanam qui vient d’être plébiscitée « Femme de l’année », prépare aussi un grand concert d’hommage à Mpongo Love, à Brazzaville et à Kinshasa.
Qui vivra verra !
Jordache Diala