Depuis la semaine dernière, une vidéo immorale d’un ancien député national congolais circule sur le net. Cette image est disponible dans les réseaux sociaux tels que Facebook, WhatsApp et autres.
Il s’agit d’un ancien élu de la ville de Kinshasa, district de la Tshangu qui a basculé, il y a quelques années, de l’Opposition à la Majorité présidentielle. Autrefois Congolais de la diaspora, cet ancien député est beaucoup connu grâce à ses accointances avec un de leaders les plus populaires de la musique congolaise moderne.
Dans cette vidéo, il apparaît, visiblement, dans un bureau de travail, exhibant ses parties intimes. Bien d’internautes qui ont visualisé cette image n’hésitent pas à penser que l’homme se faisait plaisir soi-même.
D’autres encore estiment qu’il était, sans doute, en communication vidéo Skype avec une correspondante à qui il présentait ses arguments physiques. Il est difficile de soutenir qu’il s’agit d’un montage vidéo pour nuire à la personne de ce jeune politicien.
Car les professionnels pensent que la vidéo est originale et n’a subi aucune retouche, après avoir analysé tous les paramètres.
La première question est de savoir qui a publié cet élément ? Quelle était son intention ? Avec quel objectif ?
Pour plusieurs internautes, si la victime est sur Skype, et qu’elle était en communication audiovisuelle avec quelqu’un, c’est, sans nul doute, ce correspondant qui doit avoir enregistré cette image avant de la balancer sur le net.
Mais ce n’est pas de pratique à encourager, car cela ne répond pas à la bonne moralité ni aux mœurs africaines. Une unité de la police nationale congolaise est spécialisée dans le cyber criminalité.
Elle est assurément déjà sur le terrain pour mener des enquêtes et punir les responsables de cette publication immorale.
Pour rappel, une autre personnalité du monde musical congolais, basée au Katanga, était également tombée dans le coup l’année dernière.
Cela lui a causé de gros ennuis tant au niveau de sa famille biologique que professionnelle. Quelques chanteuses congolaises ont aussi été victimes, comme des artistes comédiennes aussi, sans compter des animatrices télés.
Par Stone