C‟est un principe universel et irrésistible dans le domaine des affaires. Lorsqu‟un investisseur se pointe dans un pays pour investir, à première vue, l‟idée qui lui arrive en tête est celle d‟avoir trois partenaires incontournables. D‟abord, son assureur et son banquier. Bien plus tard, son médecin. Pour ce qui est de l‟assureur, dans le contexte congolais, c‟est la Société Nationale d‟Assurances, SONAS S.a.r.l., qui, à ce jour, demeure l‟assureur conseil du Gouvernement en attendant la mise en application proprement dite, de la reforme qui ouvre une porte à la concurrence. Cette Société commerciale RD-Congolaise ne laisse pas indifférents des observateurs intéressés, au plus haut point, au travail d‟hercule qu‟abat son Top Manager, en la personne de Mme Agito Carole, qui fait la fierté du gender. Imperturbable et très dévouée dans sa détermination à accompagner le Raïs dans ses efforts inlassables de conduire, à bon port, ce grand et beau pays vers l‟émergente, l‟AD de la Sonas est parmi les dignes filles de la République avec lesquelles il va falloir absolument compter. Aux commandes de l‟entreprise, cinq ans durant, jour pour jour, Agito Amela est dans une logique de faire valoir ses compétences au service de la nation congolaise en ce moment particulier où la Sonas, grâce aux mécanismes mis en place, s‟apprête à d‟affronter la concurrence du secteur des assurances. En dépit de quelques pesanteurs, qui ne sont pas collés qu‟à la seule Sonas, Agito Amela se bat comme une fauve pour relever le défi de gestion, tirer son entreprise du lot et la hisser au niveau des standards internationaux. Des réalisations multiples et tentaculaires Au nombre desquelles, figurent notamment, de différentes campagnes de sensibilisation, organisées en 2013, sur le bienfondé de l‟assurance automobile et inculquer à la population la culture de payer l‟assurance pour la reconstruction du pays. Ce n‟est pas tout, une réunion technique des directeurs fut organisée en vue de la mise en oeuvre du plan d‟action de l‟entreprise; la signature du procès-verbal des travaux d‟analyse et d‟approbation des prévisions budgétaires de l‟exercice 2013. Que dire du rendez-vous hebdomadaire, le sacré jeudi sinistre, où les agences de l‟entreprise éparpillées dans la ville-province et ailleurs payent au comptant les sinistrés. Ces efforts inlassables de Mme Agito, il convient de le souligner, produisent des échos même au-delà des frontières nationales. Ainsi, dans le souci de porter secours à ses compatriotes frappés par l‟accident de Sange, au Sud-Kivu, Carole Amela Agito a arraché du consortium des réassurances du COMESA pour un véhicule citerne Kenyan ayant pris feu, la somme de 400.000 dollars américains pour indemniser les victimes de cet accident. Un personnel moins formé ou mal formé c‟est comme ce véhicule qui manque du carburant. Il ne sera jamais en homéostasie. Mieux, il ne saura pas gardé l‟équilibre pour rouler à longue distance. Ceci dit, près de 16 formations de mise à niveau ont été organisées pour préparer son personnel à la libéralisation du secteur des assurances. Mais aussi, pour maximiser les recettes pour lesquelles, un protocole d‟accord a été signé avec des partenaires extérieurs en l‟occurrence, l‟Autorité de l‟Aviation Civile en avril 2013, dans le cadre de l‟assurance voyage. Tandis qu‟en mai de cette même année, ce fut le tour de la Sonas-RAWBANK-ASKY et la convention de réassurance SONAS et MAPFRE, toujours dans le cadre de l‟assurance voyage international. A l‟interne, toujours dans le souci de récupérer les quelques centimes qui allaient échapper au contrôle de l‟entreprise, un protocole d‟accord a été signé entre Sonas-Hôtel de Ville de Kinshasa-DGI-DGRK et les différentes sociétés de contrôle technique. C‟est notamment, le centre Trinity 3, l‟INPP, la Fikin et l‟ISTA. Il est question ici de créer un cadre de collaboration pour la mise en application de la loi 73-013 portant obligation de l‟Assurance Responsabilité Civile automobile avec contraintes aux parties signataires de veiller à ce que la plaque d‟immatriculation, la police d‟assurances, les autorisations de transport ne s‟obtiennent que sur présentation du certificat de contrôle technique. La santé n’a pas de prix Un personnel malade n‟a pas de bras à apporter au bénéfice de la reconstruction nationale. Faisant sienne cette maxime, Mme Agito avait lancé en juin 2013, la campagne de sensibilisation sur le dépistage des maladies métaboliques, à savoir : diabète, hypertension artérielle et obésité. En tant qu‟entreprise en pleine transformation en société commerciale, celle-ci a pris part à plusieurs salons automobiles, équipements et expositions d‟autres produits relevant du secteur des assurances. Le stand de la Sonas avait bel et bien rayonné à la Fikin pendant toute la période de l‟édition foraine. L‟entreprenariat féminin était tout aussi, à l‟origine d‟une très grande rencontre pour promouvoir la dynamique Gender au sein de l‟entreprise. Un avenir prometteur Il faut dire que face à la concurrence qui arrive à pas de géant, Agito Amela n‟entend nullement dormir sur ses lauriers. Tous les mécanismes sont mis en place pour n‟est pas disparaître. Et, avec ses multiples réalisations et sa détermination, l‟AD de la Sonas est en train de promettre. Bien plus, avec un personnel motivé et préparé, elle y arrivera, dans son souci d‟épauler le Chef de l‟Etat, Joseph Kabila dans cette lourde tâche de moderniser le Congo. Bref aperçu de la Sonas
La Sonas fut créée le 23 novembre 1966.Transformée en société commerciale le 01 janvier 2011, la Sonas, jadis entreprise publique compte près de 45 ans d‟expériences. Elle est spécialiste du domaine de l‟assurance, coassurance et réassurance. Elle est membre de plusieurs organisations internationales. Ce, notamment, l‟Organisation des Assureurs Africains OAA ; FANAF, Fédération des Sociétés d‟Assurances de Droit national Africaine; COMESA, Marché commun d‟Afrique Orientale et Australe et Co-fondateur d‟AFRICA-RE, une société de Réassurances africaines. La Société compte près de 140 agences disséminées à travers toute la République. Sa vision actuelle est de réussir sa transformation en société commerciale et continuer à évoluer aux standards internationaux.