Les Architectes de la République démocratique du Congo regroupés au sein de la « Société des Architectes du Congo (SAC) » se retrouveront en Assemblée générale élective le samedi 21 février 2015, à 14h00’, dans la grande salle de l’Institut Supérieur de l’Architecture et Urbanisme (ISAU), situé sur l’avenue de la Libération (ex-24 Novembre), à côté de l‘Académie des Beaux-Arts (ABA), dans la commune de la Gombe. Objectif: renouveler son Comité national dont le mandat se trouve déjà à terme.
Dans un communiqué de presse remis à la rédaction du quotidien de l’avenue Lukusa, le secrétariat administratif de la SAC indique que cette assemblée générale était prévue initialement le samedi 31janvier dernier. Mais, suite à des contraintes d’ordre organisationnel, notamment (‘absence quasi-totale de manifestations à candidatures des membres, le Comité directeur a décidé de la reporter de trois semaines, c’est-à-dire du 31 janvier au 21février 2015, afin de permettre à tous ses membres de postuler, d’autant plus que tous les postes sont déclarés vacants.
A cet effet, un délai d’une semaine est accordé à tous les membres désireux de faire partie du Comité directeur. La date de clôture de réception des dossiers des candidatures est fixée au mardi 10 février 2015, à minuit. Et l’Assemblée générale élective, quant à elle, interviendra le samedi 21 février 2015, à 14h00, dans la grande salle de l’Institut Supérieur de l’Architecture et Urbanisme (ISAU), situé sur l‘avenue de la Libération (ex-24 Novembre), à côté de l’Académie des Beaux-Arts (ABA), dans la commune de la Gombe.
Il convient de rappeler que la Société des Architectes du Congo (SAC) est une association sans but lucratif œuvrant dans l’encadrement des professionnels de l’architecture (entendez : l’art de bâtir) en République démocratique du Congo. Elle a été créée par un décret royal en 1960. Bien plus, la Société des Architectes du Congo (SAC) est la section Rd congolaise de l’Union Internationale des Architectes (UIA) et de l’Union des Architectes d’Afrique (UAA).
Par Michel LUKA