C-NEWS est allé au-delà des informations soit enquêté pour dénicher les raisons du luxe que s’offre le malléable, Prince Losala a insulté le PM Matata à longueur des journées dans certains medias de la place. En toile de fond, les insultes de Losala contre Matata résultent d’une bagatelle de plus de quinze dollars mille Usd que Losala avait exigé au PM Matata, alors ministre des finances.
Selon notre source, Losa¬la conditionnait Matata de lui débloquer ce montant chaque mois sous peine de voir le maitre chanteur, Losa¬la parler en mal contre lui. Acte que n’a jamais accepté Matata, d’après la source. Matata trouvait inopportun d’octroyer plus de trente milles Usd au truand Losala pour quel travail rendu ou ef¬fectué. Depuis que Matata à bloquer l’argent sale de Losala qui sortait du trésor public de manière frauduleuse, le drôle de coco «Prince» s’est résolu de l’insulter. Losala recevait l’argent auprès de tous les ministres des finances que Matata à succéder. Porté à la tête dudit ministère, Matata avait rompu à ces évasions financières que perpétraient certains officiels au profit de Losala. N’est-ce pas du vol? Soutiré l’argent des con¬tribuables Rd-Congolais sans motif. Et ça, Losala veut que le pays reste à ce stade où des autorités se permettent de dilapider les ressources du pays pour des fins indivi¬duelles. Matata n’est pas de cette école: celle de vider les caisses de la République pour son intérêt, encore moins pour faire plaisir à des mai¬tres chanteurs comme Losala qui en a fait sa vie. Insulter des personnalités politiques pour gagner son pain. Exem¬ple à l’appui! Que fait Losala comme job pour se payer des séjours au GHK? Parce qu’il n’a pas un domicile fixe. C’est un SDF. Même un haut fonctionnaire de l’Etat nanti à l’image d’un député ne puis s’offrir ce luxe. Prince aura beau à insulter Matata, ça sera une perte de temps pour lui. Matata ne va jamais céder à ses turpitudes de très bas étages qui ne dé¬passent pas la ceinture. C’est un Matata résolument tourné vers l’émergence de la Rd- Congo. Ne dit-on pas que «Le chien aboi, la caravane passe». Pitié pour ce Losala qui voulait faire de Matata sa vache à lait.
XAVIEZ PEREZ
Prince Losala, un maitre chanteur avéré
On aura tout vu en RD-Congo. Prince Losala, ce maitre chanteur figure parmi ceux qui illustrent mieux la locution: «Le ridicule ne tue pas». Ce soi-disant manager des joueurs qui ment à lon¬gueur des journées avoir des contacts avec des responsables des équipes de renom alors qu’il ne l’est pas en réalité. Pour preuve, depuis qu’il s’est dit manager, il n’a réussi à manager aucun joueur que ce soit à l’interne comme à l’international. Et, depuis qu’il com¬mencé son pseudo-travail de manager, il n’a rien ramené au trésor public.
Pourtant, la loi sur le foot exige qu’une personne con¬nue sous la casquette de manager doive apporter 10 pourcents du montant de transfert de son joueur. Et ça, Losala ne l’a jamais fait. Si ce n’est qu’user des mé¬dias pour critiquer certaines personnalités afin de faire plaisir à certaines personnes pour remplir ses poches des espèces sonnantes et trébu¬chantes. Les archives et au¬tres documents de la FECOFA en sont éloquents. Même pas un rond de transfert des joueurs a déjà été versé par Losala. Ce «Muana ya Poto» perd tout son temps à courir derrière des gars comme Trésor Lualua, n’est pas un manager surtout qu’il ne connait rien du football. S’il en est connaissait quelque-chose, il allait vivre de ce métier qui rapporte beau¬coup d’argents. C’est le job que fait l’ancien internation¬al congolo-portugais, Aziz Makukula. Après avoir mis un terme à sa carrière, il a intégré le staff technique des léopards comme ambassa¬deur du onze national pour recruter des talents Rd-Con¬golais évoluant à l’étranger afin qu’ils servent leur pays en portant le maillot nation¬al. Ce boulot n’a pas souri à Losala. Ce «Muana ya Poto» qui a perdu son temps en Europe en faisant du lèche-botte aux joueurs professi¬onnels, s’est déguisé en mai¬tre chanteur pour rançonner des mandataires, ministres, des personnalités réputées. Losala a fait de la mendicité son gagne-pain. Il passe des heures à insulter ceux qui ne jouent pas son jeu. C’est donc devenu sa spécialité de faire chanter surtout des hommes politiques. Il en a fait avec l’ancien patron de l’hôtel du gouvernement. Mainten¬ant, il s’acharne à Matata, actuel patron de l’Exécutif. L’homme s’est offert tout un programme télévisé sur un média de la place où il est seul invité et intervenant pour ses coups. Cela sous la barbe des instances de régulation. Et pour ça, Losala s’est trom¬pé de cible. Ne connaissant pas Augustin Matata qui ne cède jamais aux chantages, l’homme à la cravate rouge aime plutôt des bosseurs. Bosseurs pas dans le sens négatif comme le fait ce mal¬léable de Losala. Il a beau crié dans des médias de la place en insultant Matata. Il finira par se lasser. Matata n’est pas de ce genre des personnes qui se versent dans des fu¬tilités. Losala ferait mieux de se trouver de l’argent prop¬rement chez le PM. Ses stra¬tégies de la mendicité qu’il pratique contre Matata ne sont qu’un coup d’épée dans l’eau du fait que Matata ne cédera pas. L’actuel PM est plus plongé aux multiples dif¬ficultés aux auxquelles sont confronté son pays notam¬ment la pauvreté, l’éducation, logement, etc. Et ça paye. La dernière missive des institu¬tions des Bretons Woods en l’endroit de Matata prouve tout. La Banque mondiale et le FMI ont émis des éloges à l’ancien ministre des Finances pour son combat de la relance du cadre macroéconomique. Tous les indicateurs du cadre macro-économique sont aux verts depuis que Matata a été porté à la tête Exécutif na¬tional. Eloge que le manipulé de Losala n’aura pas jusqu’à la fin de ces jours sur terre. Manipulé par qui? Losala n’est pas seulement un maitre chanteur, c’est aussi un ma¬nipulé. Ses attaques des bas étages et qui dépasse la cein¬ture contre Matata émanent des détracteurs du PM en mal de positionnement. Ceux-ci usent de la médiocrité de Losala pour insulter le chef de l’Exécutif national. Losala est ce genre de drôle de coco qui vient du néant déjà qu’il n’a aucun cursus profession¬nel. Cela reste aussi à véri¬fier s’il est détenteur d’un diplôme d’Etat. Les grasses qu’ils lâchent aux médias qui souhaitent l’entendre dé¬montrent qu’il n’a pas une jugeote.
XAVIEZ PEREZ