L’avenue du tourisme le long du fleuve Congo est l’une des plus touchées. On y compte au moins 12 lampadaires endommagés dont deux à la hauteur de l’hôpital de la Rive.
Pour Val Manga, président de la Commission nationale de prévention routière, ces poteaux devraient être réparés par les équipes de sauvegarde du patrimoine public.
« Pour les poteaux qui sont parfois penchés ou encore cognés, il faut absolument que les équipes de la sauvegarde du patrimoine public soient en mouvement tous les jours pour voir là où il se pose des problèmes pour que ça soit réparé », explique-t-il.
Val Manga affirme que cette réparation doit se faire aux frais de la personne qui endommage l’ouvrage.
Le président de la Commission nationale de prévention routière reconnaît cependant qu’il est difficile parfois d’identifier les auteurs de ces dommages enregistrés souvent la nuit.
« Généralement, c’est la nuit où il y a certains chauffeurs qui cognent et puis partent. Là, c’est difficile [de les retrouver]», concède-t-il.
Selon lui, ces accidents de circulation qui endommagent les lampadaires offrent une occasion de repenser le travail de la brigade de surveillance du patrimoine public.