La loi électorale ayant été nettoyée de toutes « les scories », le cap est désormais mis vers le cycle électoral qui doit se boucler inévitablement en 2016 par la présidentielle. Désormais, acteurs nationaux et partenaires extérieurs, sont tous d’accord sur un fait, à savoir la nécessité d’un dialogue politique pour déblayer le terrain. Conformément au principe formulé dans l’accord-cadre d’Addis-Abeba, ces nouvelles assises, contrairement aux concertations nationales, vont servir à aplanir toutes les divergences entre parties au processus électoral de manière à permettre l’organisation des élections dans un climat d’apaisement.