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Dans une interview exclusive accordée à 7SUR7.CD ce dimanche 17 février 2019, Justin Bitakwira membre du Front Commun pour le Congo, "FCC", dont la candidature comme indépendant à l'élection des gouverneurs et vice-gouverneurs a été rejetée par la CENI, a fustigé cette décision de la Centrale Électorale. Selon le ministre du développement rural, si la CENI continue à recevoir des injonctions externes, il faut la dissoudre.

Devant la presse tant nationale qu'internationale ce samedi 16 février 2019 à Kinshasa, le porte-parole de l'ex majorité présidentielle a annoncé le changement d'appellation de cette dernière eu égard aux résultats des élections générales du 30 décembre dernier. Bien qu'ayant conservé la majorité parlementaire selon les résultats provisoires publiés par la CENI, Atundu souligne la nécessité de modifier l'appellation "Majorité Présidentielle".

Dans son allocution vendredi 15 février dernier en marge de la commémoration du 37ème anniversaire de l'existence de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, "UDPS", Jean-Marc Kabund a mis en garde contre toute tentative de déstabilisation du pouvoir de Félix Tshisekedi, président de la République Démocratique du Congo.

La Commission Électorale Nationale Indépendante, "CENI", a rendu public vendredi 15 février 2019 dans la soirée, la liste des candidatures jugées irrecevables pour les élections de gouverneurs et vice-gouverneurs en République Démocratique du Congo. Ils sont douze candidats au total à voir leurs dossiers écartés par la Centrale Électorale. Parmi eux, Justin Bitakwira membre du Front Commun pour le Congo, "FCC", qui avait pourtant déposé sa candidature comme indépendant.

Devant les membres du corps diplomatique lors de la cérémonie de présentation des vœux vendredi 15 février à Kinshasa, le président Félix Tshisekedi a annoncé l'intention de la RDC d'intégrer la Communauté des États d'Afrique de l'Est, CEA. "La RDC étudie la possibilité d'intégrer la communauté des États de l'Afrique de l'Est au profit des provinces situées dans l'Est du pays", a déclaré Félix Tshisekedi devant les ambassadeurs.

Le président du bureau provisoire de la nouvelle Assemblée Nationale de la République Démocratique du Congo, vient de décider de rejoindre l'assemblée Provinciale du Haut-Katanga. Gabriel Kyungu Wa Kumwanza l'a annoncé ce vendredi 15 février 2019 devant la plénière de l'assemblée nationale. Il devait faire le choix entre l'assemblée nationale et celle provinciale du Haut-Katanga. Conséquence, il faudrait désormais choisir le vice-doyen d'âge pour achever la mission du bureau provisoire de la chambre basse du parlement.

Le candidat n°13 à la dernière élection présidentielle Emmanuel Ramazani Shadary n'est pas candidat sénateur dans la province du maniema. Par contre, certains grands noms de cette province sont bien présents à l'instar de l'ancien premier ministre et élu député national Augustin Matata ponyo, l'actuel ministre de la justice Alexis Thambwe Mwamba pour ne citer que ceux-là. Dans le Sud-Ubangi, après sa réélection comme député national dans la circonscription de Budjala, l'actuel ministre d'État au commerce extérieur, Jean-Lucien Busa espère rafler un autre siège au sénat.

La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) a publié jeudi 14 février, la liste définitive des candidats à l'élection sénatoriale. Pour la ville de Kinshasa, sur 143 candidatures reçues, 106 ont été jugées recevables.

Martin Fayulu Madidi candidat malheureux de l'élection présidentielle du 30 décembre dernier est déjà en route pour Butembo dans la province du Nord-Kivu ce vendredi 15 février 2019. Sur place, le candidat de la coalition de l'opposition LAMUKA tiendra un meeting populaire devant ses militants, partisans et sympathisants. Signalons cependant que celui qu'on surnomme Le Soldat du Peuple est accompagné d'Adolphe Muzito, un autre leader de ladite coalition.

Selon Human Right Watch, "HRW", la nouvelle administration de la République Démocratique du Congo devrait faire la preuve de son engagement en faveur des droits humains, en lançant une enquête impartiale sur les meurtres d’au moins 10 personnes par les forces de sécurité lors de manifestations postélectorales le 10 janvier 2019, en engageant aussi des poursuites contre leurs responsables.