Société

Pour les habitants de Goma, la capitale du Nord Kivu, à l’Est de la RDC, vivre au pied du Mont Nyiragongo, l’un des volcans les plus actifs d’Afrique, est une réalité qu’il faut prendre avec philosophie. « Nous ne sommes pas grand-chose face à la nature. Nous sommes venus de la poussière et nous retournerons un jour à la poussière», témoigne Louise Bahati, plus connue sous le nom de Mama Tcheka, tailleuse de pierres qui travaille aux abords de l’aéroport de Goma dont la piste fut ensevelie par la lave lors de la dernière éruption du volcan le 17 janvier 2002.

Le Projet d’Appui à la Réhabilitation et à la Relance du Secteur agricole (PARRSA) a encore quatorze mois pour consolider son succès et les résultats récoltés sur terrain pendant ses 5 dernières années. La nouvelle a été annoncée mercredi 21 octobre 2015 à la Maison de France à Kinshasa par le Chef du projet PARRSA et Spécialiste en Agriculture à la Banque mondiale, Amadou OUMAR BA, au cours de l’atelier de restitution de la mission de supervision du PARRSA par le Gouvernement et la Banque mondiale.

La scène s’est passée dans les après-midi du jeudi 22 octobre 2015. Nous sommes devant les bureaux de La Référence Plus. Précisément en face de l’Académie des Beaux-Arts sur l’avenue ex-24 Novembre dans ‘la commune de Lingwala. Une jeune fille de 22 ans environs a surpris son petit ami que d’aucuns présenteront plus tard comme étant son fiancé avec un Monsieur quinquagénaire. Copain de son copain.  

Jeunes mariés, parents, associations des travailleurs, coopératives, entreprises, églises, tout le monde se tourne désormais vers la périphérie de Kinshasa pour s’acheter un lopin de terre pour y construire un chez soi ou pour investir dans l’agriculture. C’est le phénomène qui est à la mode à Maluku et N’Sele. A la base, l’absence d’espace vide dans les 21 autres communes de Kinshasa, la cherté du loyer couplé au diktat des bailleurs, la rareté des logements sociaux. Cette ruée de nouveaux acquéreurs de parcelles fait le bonheur des chefs coutumiers.  

La Commission Mouvements de Population (CMP), qui constate la diminution du nombre de déplacés internes par rapport au deuxième trimestre 2015, annonce que plus de 230 580 personnes sont retournées chez elles d’avril 2014 au 30 septembre 2015 dans l’ex-province du Katanga (sud-est de RD Congo).

Les opérateurs économiques  de Matadi saluent la construction dans cette ville des ports et ports secs (terminal intermodal directement connecté par route ou par chemin de fer à un port). Au cours d’une  interview accordée mercredi 21 octobre à Radio Okapi, le président des commerçants indépendants du Kongo central, Matondo Lelo, a dit attendre beaucoup de retombées de ces nouvelles installations portuaires. Les nouvelles installations portuaires en construction sont:

C’est un drame qui continue à faire grand bruit dans ce quartier paisible sit9é dans la commune de Mont Ngafula où un taximan, nommé Delvin, âgé de plus de vingt ans, est mort mardi 20 octobre 2015, après avoir été battu sauvagement par cinq, voire six éléments de la police des polices, pour avoir refusé de donner un pourboire de 500 fc congolais à une préposée de la police de roulage. Une scène surréaliste et un drame de trop dans les relations déjà, tumultueuses entre les éléments de la police de roulage et les différents conducteurs et usagers de la route.  

Après, licenciement et résiliation abusive de son contrat de travail, Mbulu Musoso, ex-agent au Grand Hôtel de Kinshasa (GHK), a saisi la cour d’appel de combe, pour mal jugé. Il conteste la décision rendue en sa défaveur en matière d’urgence par le tribunal de travail, laquelle décision avait ordonné la main-levée sur la saisie qu’il avait pratiquée sur les comptes du GHK logés à la banque TMB.  

L’affaire qui oppose l’agent de police Assani Senga à un groupe de vendeurs d’eau en sachet et qui est instruite au Tribunal Militaire Garnison de Matete a tout l’air d’une rébellion contre l’Etat congolais. Ou alors un règlement de compte politique !

La Cellule de l’Initiation à la nouvelle citoyenneté a entrepris depuis quelques temps, une campagne de sensibilisation de toutes les couches de la société, afin que chaque congolais, sans distinction aucune, puisse se revêtir des nouveaux comportements, comme le souhaite le Chef de l’Etat Joseph Kabila.