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L’Association des Journalistes de la Presse Economique du Congo (APECC) a procédé le samedi 14 février à l’Hôtel «Africana Palace», à la remise des prix d’excellence APECC 2015 aux lauréats et à la commémoration de sa 25ème année d’existence.

Pour satisfaire au maximum sa clientèle et donner une raison de plus de sourire à ses abonnés, le réseau le plus innovant de la RDC, Tigo, a procédé le vendredi 14 février 2015 au lancement du Smartphone «Alcatel Pop D3 », nouveau produit haute de gamme sur le marché, à un prix abordable, soit 80.000FC. C’est à l’Université Protestante au Congo, dans la commune de Lingwala, que cet événement a eu lieu.

Considéré partout ailleurs à travers le monde comme un service stratégique d’intérêt public, générateur d’énormes recettes et au centre de toute la vie économique pour ses prévisions en matière météorologique très précises, l’agence météorologique congolaise, la Mettelsat, est aujourd’hui l’ombre d’elle-même. Indifférent ou par ignorance de son importance au service de la communauté nationale et internationale, l’Etat propriétaire semble avoir décidé de sa disparition.

Le député national, Zacharie Babaswe a fui Joseph Kabila en Guinée-Equatoriale. Motif, l’élu de la Lukunga a refusé tout contact avec Joseph Kabila, question d’éviter des débats dans l’opinion sur ses images avec Kabila. Le jour où Kabila prenait son vol pour Bata, informé, Zacharie a manu militari pris un vol express pour Kinshasa où il avait passé quelques heures avant que Joseph Kabila regagne le pays. Quand le président était de retour pour Kinshasa, Zacle a pris un autre vol pour la Guinée-Equatoriale.

Forte tension  entre Joseph  Kabila et la communauté internationale Le président Joseph Kabila a reçu ce dimanche 15 février 2015 une dizaine d’ambassadeurs en poste en République démocratique du Congo en présence du patron de la Monusco, Martin Kobler. Occasion pour le chef de l’Etat de condamner la décision de la Monusco de ne pas appuyer les FARDC dans la guerre entamée il y a peu, le 29 janvier dernier, pour éradiquer les FDLR. Le chef de l’Etat leur a dit qu’il n’avait plus besoin de leur soutien dans l’Opération Sokola 2, opération conduite par deux généraux récusés par la Monusco.

En marge de la publication du calendrier électoral global, hier jeudi 12 février 2015 au siège de la Commission nationale électorale indépendante(CENI), les chevaliers du micro et de la plume ont eu la désagréable surprise de se voir relégués au second plan. Alors qu’ils ont accouru en masse pour recueillir le maximum d’informations sur cet événement qui va déterminer la suite du processus électoral dans notre pays, les journalistes se sont retrouvés exclus au profit des invités visiblement non sélectionnés par le protocole.

La crise autour de la nouvelle loi électorale en République démocratique du Congo a fragilisé un peu plus la majorité du président Joseph Kabila mais a également révélé la désunion de l'opposition. "Au sein de la majorité [. . . ] ils ne sont plus unis, c'est clair", juge Placide Mandona, chercheur en philosophie politique à l'Université catholique du Congo, et "à la base de tout [il y a] cette fameuse loi électorale". Ce projet de révision de la loi électorale a déclenché des troubles meurtriers à Kinshasa et dans plusieurs villes de province du 19 au 22 janvier.

Le climat sécuritaire dans les provinces situées dans la partie occidentale de la République Démocratique du Congo, a été jugé stable durant la semaine écoulée, rapporte une dépêche de la Monusco.

Traque des Fdlr : Kinshasa et New York en consultation (KINSHASA)- Au lendemain de l’annonce par la hiérarchie de l’Onu de la suspension par la Monusco des opérations contre les rebelles hutus rwandais, l’envoyé spécial du secrétaire général de l’Onu pour la région des Grands Lacs, Said Djinnit a annoncé le début des consultations avec le gouvernement congolais pour résoudre la question liée au respect des droits de l’homme.

Fronde à la majorité au pouvoir : Msr,Palu et Afdc en rébellion (KINSHASA)- C’est une véritable fronde au sein de la mouvance Kabiliste. A moins de deux ans de la tenue de la présidentielle, le bateau majorité au pouvoir commence à tanguer. Chaque capitaine prend sa direction dans une sorte de sauve-qui-peut. Désormais, les ténors du régime empruntent le langage presque de l’opposition ou de la communauté internationale. Calendrier global, respect de la constitution, respect du délai constitutionnel, insistent-ils.