Société

Le ministre des postes et télécommunications et nouvelles technologies a retiré le 13 juin la licence 2G à Vodacom Congo. En réaction,  Vodacom Congo rassure ses abonnés qu'une solution idoine sera trouvée mais s'interroge sur la validité de l'acte posé par le ministre Emery Okundji en rappelant qu'il est démissionnaire. (Ci-dessus le communiqué) COMMUNIQUE DE PRESSE  Vodacom Congo éclaircit l’opinion publique sur l’évolution de l’affaire licence 2G

Le ministre des postes, télécommunications et nouvelles technologies de l'information et de la communication (PT-NTIC) a, le 13 juin, retiré la licence 2G attribuée à la société Vodacom Congo (VDC). D'après un arrêté parvenu lundi à 7SUR7.CD,  l'État ''reprend définitivement les fréquences GSM attribuées à VDC''. Le ministre Emery Okundji demande à l'Autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPTC) de procéder dans les 3 trois mois au retrait de ces fréquences,  en veillant aux intérêts des utilisateurs finaux.

Les militants de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social fédération de Mwene-ditu sont déjà visibles ce lundi 17 juin 2019 sur l'ancien péage au niveau du boulevard Kasa-vubu, lieu de départ de leur manifestation dite de"vérité" pour exiger le départ du gouverneur de la province de Lomami, Sylvain Lubamba Mayombo. Des drapeaux des alliés et différentes associations qui soutiennent le président de la République sont aussi au rendez-vous. Les écoles et boutiques n'ont pas ouvert leurs portes pour le moment mais la circulation de déroule en toute quiétude. 

"La guerre des intelligences et l'État stratège" était le thème principal de la conférence animée, tour à tour ce samedi 15 juin par le macroéconomiste Dandy Amisi Matata et le juriste Serge Maabe Muanyimi , dans la salle Showbuzz à Kinshasa.  Les deux conférenciers ont plaidé pour que la RDC se dote d'une agence stratégique de recherche pour maîtriser les enjeux technologiques pour son développement. 

Plusieurs militants du Parti National pour la Démocratie et le Développement "PND" en particulier et de la coalition LAMUKA en général, sont descendus dans la rue samedi 15 juin 2019 au territoire de Ngandanjika dans la province de Lomami pour protester contre l'invalidation de Germain Mutombo Kasango par la Cour Constitutionnelle.

 Après 3 jours sans travail à Kasindi, une cité frontalière entre la RDC et l'Ouganda, décrétés par les forces vives du groupement de Basongora, les activités reprennent ce dimanche 16 juin 2019. Lors de ces journées chômées, les forces vives ont appelé le gouvernement à intervenir, afin que les otages enlevés le mois en cours sur la route Beni-Kasindi, par les présumés rebelles ADF, soient libérés.  Parmi les causes des journées sans activités, figurent les tueries des civils dans la région de Beni.

Une délégation du ministère de l'aménagement du territoire et rénovation de la ville du gouvernement central,  conduite par le professeur Baidon Ngoy conseiller en charge de la politique, réglementation, normes et réforme de l'aménagement, a organisé du lundi 08 juin au vendredi 14 juin 2019, à Tshikapa chef-lieu de la province du Kasaï, des entretiens et ateliers avec les chefs des division de la société civile, les universités et instituts supérieurs et privés.

Selon des sources officielles du gouvernorat du Haut-Katanga, les différends politiques à Lubumbashi ont fait un mort au lieu de 3 comme le lassait entendre les rumeurs qui ont circulé sur les réseaux sociaux. Cette mort a été causée par une balle perdue alors que la police par tirs de sommation voulait rétablir l'ordre public le mercredi.  Les mêmes sources démentent aussi l'info selon laquelle le siège de l'UDPS avait été incendié.  Selon elles,  il s'agit d'un débit de boisson, situé à côté du siège de l'UDPS, qui avait pris feu. 

Quelques militants du Mouvement de Libération du Congo, "MLC", en particulier et de la plateforme politique LAMUKA en général, sont déjà présents au siège de l'interfédéral du parti de Jean-Pierre Bemba situé sur l'avenue de l'enseignement.  Ce sont des chansons hostiles à la coalition au pouvoir FCC-CACH qui sont scandées par lesdits militants. Rappelons par ailleurs que cette marche partira du siège précité jusqu'à la Cour Constitutionnelle dans la commune de la Gombe.

Initialement prévue ce samedi 15 juin 2019, la marche conjointe dite de la "vérité" de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social "UDPS" pour exiger le départ du gouverneur de la province de Lomami, Sylvain Lubamba Mayombo, n'aura pas pas lieu. À en croire le président fédéral de l'UDPS/Mwene-ditu Gérard Tshibanda, cette grande marche est renvoyée au lundi 17 juin prochain.