Quatre cas de fièvre jaune ont été signalés dernièrement au Centre de santé Deborah, dans la commune de Ndjili. Selon Dr Willy Kapalati, médecin- chef dudit centre, il s’agissait de quatre enfants présentant de fortes fièvres, des vomissements ainsi que des douleurs articulaires. Ils ont été mis immédiatement sous traitement médical. Un appel a été lancé à tout parent qui constatera un tel tableau clinique dans sa famille de bien vouloir le signaler, en d’éviter la contagion à large échelle.
Par Priscille Mbay
Santé
ven 17/04/2015 - 08:53
Antoine Tshimpi est un médecin congolais vivant en France. Spécialiste des Maladies de l’Appareil Digestif, il est titulaire de plusieurs diplômes universitaires dans son domaine. Diplôme Universitaire (DU) d’Hépatites Virales, Interféron et Cytokines, DU d’échographies digestives et Urogénitales, DU Informatique Médicale appliquée, DU Echo Endoscopie, DU Techniques Avancées en Endoscopies Diagnostiques. DU (en cours) Cancérologie digestive. Il est actuellement président de la Commission Médicale d’Etablissement et Vice-président du Directoire du Centre Hospitalier en France.
jeu 16/04/2015 - 11:57
Les habitants du territoire de Ngandanjika, situé à environ 90 km à l’Est de la ville de Mbuji-Mayi, dans la province du Kasaï Oriental, particulièrement ceux qui ont eu le malheur d’avoir des ennuis de santé, ont traversé deux jours pas très rassurants. Il s’agit des journées de mardi 14 et de mercredi 15 avril 2015.
A en croire l’Agence congolaise de presse (ACP), dans sa livraison d’hier mercredi, les médecins membres de la cellule de l’Ordre des médecins dans le territoire de Ngandanjika avaient décrété ces journées » journées des hôpitaux sans médecins « .
mer 15/04/2015 - 14:31
En prélude de la Journée mondiale du paludisme célébrée le 25 avril de chaque année, l’asbl Santé en milieu rural (SANRU) a organisé le mardi 14 avril 2015 en collaboration avec le PNLP (Programme National de Lutte contre le Paludisme), une matinée de briefing des professionnels des médias sur la lutte contre cette maladie. La réunion s’est tenue au siège de cette structure sur l’avenue de la Justice, dans la commune de la Gombe.
mar 14/04/2015 - 13:07
Le Gouvernorat de la ville de Kinshasa compte mettre en place un document autorisant les directions des morgues kinoises l’inhumation des corps sans famille et morts nés.
Ceci est une décision du gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta Yango, signalée lors de la journée porte ouverte organisé à la morgue centrale de l’Hôpital général de Kinshasa, lundi 13 avril 2015. Cette journée a été organisée dans le but d’éclaircir la population congolaise sur l’affaire fosse commune de Maluku.
mar 14/04/2015 - 08:00
L’Hôtel de ville de Kinshasa a organisé lundi 13 avril une journée porte ouverte à la morgue centrale de l’Hôpital général de référence (ex-Maman Yemo). Selon les organisateurs, l’objectif est de montrer aux médias comment s’organisent les services dans cette morgue.
lun 13/04/2015 - 12:22
En séjour à Bukavu, dans la province du Sud Kivu la délégation des députés européens en mission en RD-Congo,
ont été voir le médecin directeur de l’Hôpital Général de Panzi. Pour la délégation européenne, leur visite s’inscrit dans le cadre de voir de près ce que le «réparateur» des femmes, victimes les atrocités sexuelles
lun 13/04/2015 - 11:51
Jamais dans l’histoire de l’Hôpital Général de Kinshasa ex Mama Yemo une telle visite n’a eu lieu. Qu’est-ce qui se cache derrière la séance de porte ouverte à la morgue de l’Hôpital Général de Kinshasa. Pourquoi avoir
attendu la découverte d’une fosse commune à Maluku dont les corps seraient venus de la morgue de l’ex Mama Yemo pour que des autorités de cette formation hospitalière ouvre grandement les portes de la morgue pour une
ven 10/04/2015 - 13:46
La RD-Congo se débarrasse peu à peu de l’image négative et excessive de la « capitale mondiale du viol ».Les progrès enregistrés ces derniers temps, dix mois à peine après l’installation d’un Bureau du représentant personnel du chef de l’Etat en charge de la lutte contre les violences sexuelles et le recrutement des enfants, sont considérables.
jeu 09/04/2015 - 09:59
L’organisation mondiale de la santé (OMS) a révélé, à l’occasion de la Journée Mondiale se la Santé célébrée le mardi 07 avril dernier, que chaque année dans le monde entier quelques 2 millions de personnes meurent suite à l’indigestion d’aliments avariés.
Selon Docteur Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’OMS, les vulnérables sont notamment les nourrissons, les jeunes enfants, les femmes enceinte, les personnes âgées et les personnes porteuses d’une bactérie, virus ou autres substance chimique nocive, susceptibles de provoquer toutes sortes de complication à la santé.