La direction générale de la Caisse de Solidarité Nationale et de Gestion Humanitaire des Catastrophes (CSN-GHC), a lancé ce jeudi 11 septembre 2025, une mise en garde contre les propagateurs de faux bruits teintés de la désinformation sur un prétendu détournement des ressources imaginaires de cet établissement public dont le montant et la rubrique n'ont pas été révélés et la « suppression de l'antenne de la Kinshasa sans respecter la procédure légale ».
D’après la dépêche de la cellule de communication de la CSN-GHC, selon les propagandistes de fausses informations, la loi exige une notification au préalable de trois mois avant toute suppression de service, ainsi que la réaffectation des agents ou à défaut, leur indemnisation avant l'arrêt de travail. Quant à ce, la CSN-GHC voulait apporter une précision de taille concernant ces allégations de mauvais goût.
« Les Antennes Provinciales représentent la CSN-GHC dans les provinces et assurent la déconcentration opérationnelle des interventions. Elles constituent le maillon essentiel entre les communautés locales et la Direction Générale. Les antennes provinciales demeurent pleinement opérationnelles et jouent un rôle stratégique dans l'accomplissement de notre mission de solidarité nationale », lit-on dans cette dépêche.
La même source indique que la CNS-GHC dénonce non seulement une campagne de désinformation mais également de la manipulation de l'opinion visant à semer le doute sur le bon fonctionnement de cet établissement public à caractère humanitaire, en évoquant à tort un prétendu détournement et une suppression de l'antenne de la ville Kinshasa sans aucune preuve. Pour tirer les choses au clair, la CSN-GHC souligne que le prétendu article actuellement en circulation sur la toile est une fausse information qui n'engage que leurs auteurs car à ce jour, aucune antenne n'a jusqu'ici été supprimée.
A en croire la même source, le directeur général de la CSN-GHC, Raymond Bongole, œuvre sans relâche à la matérialisation de la vision de la Gestion Humanitaire du chef de l'Etat, et à la politique du gouvernement sur la prévention et réponse aux crises humanitaires et catastrophes implémentées par la première ministre. Il veille au respect strict du cadre organique en vigueur dont la sécurité professionnelle de chaque agent et cadre de cet établissement public.
Selon la même source, cette mise au point fait office de mise en garde. La Caisse de Solidarité Nationale et de Gestion Humanitaire des Catastrophes se réserve le droit des poursuites judiciaires contre les propagateurs reconnus de faux bruits, qui visent à saper les efforts du directeur général Raymond Bongole dans la lutte contre les fictifs, les cumulards, et absentéistes, au détriment du cadre organique validé par le Conseil d'Administration et approuvé par la ministre de Tutelle.
Linda Lusonso