Se saisissant des preuves tangibles de perception illicite des frais orchestrés par certains chefs d'établissements dans la province éducationnelle Lomami I, lors du Test national de sélection, orientation scolaire et professionnelle (TENASOSP), le Comité de suivi des actions du chef de l'État (COSAC/Lomami), par le biais de son coordonnateur, met en garde les auteurs déjà bien identifiés.
Chandrack Mukonkole Kasongo appelle les autorités tant administratives que judiciaires à punir sans aucune léthargie ni complaisance les auteurs.
Pour lui, ces chefs d'établissements doivent répondre de leurs actes. Il estime que les concernés entre en guerre contre le chef de l'État, Félix Tshisekedi, qui ne ménage aucun effort pour mettre fin aux anti-valeurs dans tous les secteurs.
Il met également en garde ces chefs d'établissements qui s'évertueront le pouvoir de monnayer les points d'E13, et ceux dits "frais labo".
"Les investigateurs sont déjà mis à pied d'œuvre pour démanteler ces réseaux. Quand nous faisons cette interpellation, l'ANR est aux aguets. C'est elle l'organe habilité à faire ce que le COSAC fait aujourd'hui. J'ai de preuves des noms de tous ces gens qui se sont donnés le monopole d'escroquer les différents frais aux candidats. L'Exetat approche. Nous mettrons nos têtes à couper juste pour accompagner le chef de l'État", a déclaré à 7SUR7.CD le lundi 17 juin 2024, Chandrack Mukonkole Kasongo, coordonnateur provincial du Comité de suivi des actions du chef de l'Etat en province de Lomami.
Un jour après le lancement du Test national de sélection, orientation scolaire et professionnelle (TENASOSP), dans la sous-division de l'EPST/Kabinda II, à Kipusha, un Officier de la police judiciaire (OPJ) aurait dénoncé la perception illicite des frais dans les centres des écoles de la 30ᵉ CPCO, succursale autonome de Kipusha.
Benjamin Kambadi, à Kabinda