Les résidents de la ville de Baraka observe une ville morte, ils continuent de frapper à froid comme l’une des étapes pour condamner le crime et assassinats faite aux résidents de la ville. Boutiques, marchés et écoles sont fermées pendant trois jours comme pour obliger le gouvernement à prendre des mesures contre ces crimes.
Ville de Baraka est maintenant silencieuse avec diverses activités en particulier le commerce sont aussi fermée. Les élèves et les enseignants restent à la maison. la société civile estiment que les civils sont fatigués des criminels qui attaque des civils dans la nuit, ainsi pillant leurs biens, violant les femmes et le meurtre.
MSHIKELWA Kelly le président de la société civile en territoire de Fizi à Baraka, espèrent que cette grève portera des fruits.
Toutefois, le chef de l’armée nationale FARDC dans la ville de Baraka a nié les allégations disant que les soldats font leur travail comme d’habitude et beaucoup de criminels ont été arrêtés.
Répondant à cette déclaration, le commandant de la police nationale dans la ville de Baraka a admis la situation sécuritaire dans la zone est médiocre ainssi appelant à la société civile pour montrer la coopération.
Ces bandits, affirme Kelly Kalima, se sont attaqués aussi à la maison du voisin de la victime. Ils ont emporté 2 500 dollars américains et d’autres biens.
D’après lui, trois opérateurs économiques sont aussi tombés victimes des bandits dans leurs résidences respectives, une semaine plutôt. La source parle de marchandises et de l’argent volés.
Au cours de ces attaques, trois femmes ont été aussi violées. Selon Kelly Kalima, ces femmes suivent des soins appropriés à l’hôpital Panzi de Bukavu dans le Sud-Kivu.
La société civile de Fizi évoque aussi le vol dans trois boutiques au marché de Baraka par des bandits armés, au cours de la même semaine. Raison pour laquelle elle a appelé à une journée ville-morte. Et cet appel a été totalement observé par la population de Baraka, selon des sources locales.
Cependant, la grève a considérablement affecté les citoyens de la ville de Baraka.
Le cas le plus récent remonte à dimanche dernier, concernant l’assassinat d’une femme âgée d’une quarantaine d’années par des bandits armés au quartier Majengo II à Baraka.