Tous, avaient les yeux braqués sur ce qui devait se passer hier à Kingakati où l’autorité morale de la Majorité présidentielle a l’habitude de conférer avec ses partenaires. Après la rencontre qui s’est terminé pratiquement à queue de poisson, Joseph Kabila a de nouveau réuni ses collaborateurs (chefs des partis) pour une communication hier, dimanche 12 avril dans sa résidence de la banlieue ouest. A en croire nos sources, contrairement à la fois passé, il n’ ya pas eu des échanges des mots durs entre bonzes de la Majorité.
nous, étaient derrière l’idée de l’autorité morale. Ce dernier a recommandé à ses troupes de prendre en considération la question du découpage territorial. Une façon pour Joseph Kabila d’inviter ses hôtes à prendre cœur la problématique du démembrement des provinces. Lui qui tient à la manifestation de cette politique veut voir des choses bougées du côté de ses partenaires politiques.
Plus donc question de se disputer des postes, chaque chef du parti membre de la Majorité présidentielle est entrain de voir comment faire pour être Gouverneur dans une des provinces démembrées. Autre aspect de la rencontre de Kingakati, c’est la volonté de l’autorité morale de la Majorité présidentielle de voir ses collaborateurs politiques poursuivre leurs réunions au sein de la Majorité pour mettre fin à des éventuels discordes. Là encore, c’est encore et toujours le président de l’Assemblée nationale et secrétaire général de la Majorité présidentielle, Aubin Minaku d’encadrer les troupes. Le message est donc clair cette fois-ci. Joseph Kabila a besoin de Minaku en dépit des toutes les accusations pour tenir les membres de la Majorité présidentielle. L’attitude de Kabila prouve à suffisance que le Président de la Chambre basse du Parlement reste et est encore l’homme qui chuchote à l’oreille du Président. Allez-y comprendre pourquoi, lors de la rencontre qui a précédé celle d’hier, l’autorité morale de la Majorité présidentielle avait introduit et laissé la séance se poursuivre sous la direction d’Aubin Minaku. Pour rappel, les frondeurs ont garder leur position.
CHRIS WADOL