Coup d’œil sur les informations musico-culturelles

Vendredi 30 janvier 2015 - 08:03

Dans la capitale congolaise, il est venu assurer at home la promotion de son nouveau disque intitulé « Domaine privé ».
Mettant son séjour à Kinshasa à profit, Djuna Fa compte mettre sur pieds un groupe musical d’accompagnement pour ses concerts sur place et il lance un vibrant appel à tous ceux que l’offre intéressera de le contacter en l’appelant au +243 81 080 66 38. Cependant pour le tournage à Kinshasa de certains clips de son disque, le Prince du tchatcho recherche aussi quelques danseuses les plus aguerries pour monter un super groupe de danse. Elles peuvent appeler au numéro sus-communiqué. 
° « Nouveau combattant » supplante « Ancien combattant » 
Zola Casimir, l’artiste musicien congolais de Brazzaville connu sous son nom de scène « Zao » avait ébranlé vers les années 82 avec son tube intitulé « Ancien combattant ». Cette œuvre a fait le tour du monde et permis à l’opinion de découvrir la face cachée de son auteur compositeur, ancien enseignant qui, en peu de temps, est parvenu à se hisser au sommet de la gloire.
30 années après, cet auteur volubile revient en force dans « Nouveau combattant », une œuvre qui restitue exactement ce que le monde est en train de vivre actuellement. C’est donc la suite logique de ce que nos aïeux avaient vécu en 1914-1918 et 1940-1945. 
Les musiciens n’étant pas des pyromanes qui jettent de l’essence sur le feu, Zao a, comme dans le temps, refait la même démarche avec la même volonté pour démontrer que la guerre « ce n’est pas bien, ce n’est pas bien. Quand viendra la guerre tout le monde cadavéré ». 
Nous devons éviter cela pour vivre dans un monde harmonieux où « si tu vois un chinois : hi hon, et si tu vois un français : bonjour, et si tu vois un anglais : good morning, et si tu vois un centrafricain : mibaramo, et si tu vois un gabonais : mbolo, et si tu vois un congolais : mbote na yo,… 
Dans son nouveau tube de 9 titres produit par la maison « Fidel Castro », l’artiste dans ses incantations demandent que la paix puisse revenir dans le monde et que tous nous puissions vivre loin des « jihadistes » ainsi que de tous les opportunistes…
° Jessica Kill ne désarme point
Encouragée par le public qui répondent favorablement à ses invitations, la chanteuse Jessica Kill dit « la Mama Africa » ne désarme point et elle n’est jamais restée les bras croisés attendant que la manne ne puisse lui tomber du ciel. De ce fait, mettant son courage en prime et sa détermination à l’épreuve, elle est entrée au studio pour enregistrer son énième disque baptisé « Yas’ Omulirho » qui est fort prisé par le public qui ne lui souhaite plus qu’une longue et fructueuse carrière…

( Une sélection de Kingunza Kikim Afri )