Député national élu de la circonscription électorale de Mbuji-Mayi et patron du groupe de La Tempête des Tropiques, Cntv et Trinitas FM, l’Ingénieur civil Alexis Mutanda Ngoy Muana s’est confié à la presse le dimanche 8 mars dernier, pour faire le point sur les questions d’actualité.
S’agissant de la journée du 8 mars, Alexis Mutanda a plaidé pour un enseignement de qualités en faveur de la femme.
Le patron du groupe de presse La Tempête des Tropiques Cntv et Trinitas FM est d’avis qu’avec le chômage, une lourde charge pèse sur la femme congolaise qui se bat bec et ongle, pour nourrir la famille.
C’est pourquoi cet opérateur des médias doublé d’une casquette politique tient pour l’éducation et l’encadrement de la femme, pour sa dignité.
Alexis Mutanda Ngoy Muana attire une attention particulière sur la question de la femme et des jeunes filles. » Il faut veiller sur l’éducation de nos jeunes filles, pour une méritocratie au lieu de s’accrocher sur le quota de 30% « , a-t-il insisté.
Plaidoyer des Nations Unies
Dans son message, le chef de l’ONU a rappelé que depuis l’adoption de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing en 1995, jamais autant de filles n’avaient eu accès à l’éducation. « Le nombre de femmes qui meurent en couches a été pratiquement réduit de moitié.
Les femmes sont toujours plus nombreuses à diriger une entreprise, un gouvernement ou une organisation internationale, avancées dont je ne peux que me féliciter », a-t-il ajouté.
« Nous exhortons nos pays à » franchir le pas » en faveur de l’égalité des sexes, et à réaliser des progrès concrets d’ici à 2020. Notre objectif consiste à vivre dans un monde 50-50 avant 2030″, a-t-elle dit dans un message. « Le monde doit parvenir à la pleine égalité afin que l’humanité puisse prospérer ».
Lors d’un débat de haut niveau de l’Assemblée générale des Nations Unies vendredi dernier, pour célébrer la Journée de la femme, la Secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Michaëlle Jean, a rappelé les souffrances des femmes et des filles à travers le monde.
Par Godé Kalonji Mukendi