Le Président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, a reçu en audience, hier mardi 3 novembre 2015, dans son cabinet de travail, le Directeur Exécutif de la structure GAVI Alliance, le Docteur Seth Berkeley. Ce dernier était accompagné du Ministre de la Santé, le Docteur Félix Kabange Numbi.
Au menu de leurs entretiens, la demande de soutien et l’implication de l’Assemblée nationale pour l’amélioration de la couverture vaccinale en République Démocratique du Congo.
Le Programme de Vaccination pour préserver des vies humaines en RDC est d’une importance capitale. D’où, l’idée que l’Assemblée nationale, Autorité budgétaire, doit traiter le dossier avec minutie.
Au sortir de l’audience, le Directeur Exécutif de Gavi Alliance a insisté sur le fait qu’il battra avec détermination pour faire voir à tous qu’il est important de sauver des vies humaines en difficulté.
Comme pour illustrer ses propos, il a recouru à un proverbe, vieux comme le monde, qui dit que mieux vaut prévenir que guérir. Le vaccin intervient dans la prévention de plusieurs maladies.
Les Députés membres du Réseau œuvrant pour l’accès aux soins de santé de qualité pour tous, au sein de l’Assemblée nationale, ont pris part à la réunion de travail.
Les eaux de l’Ubangi vers le lac Tchad
Toujours dans la même journée d’hier, mardi 3 novembre 2015, il s’est ouvert au Palais du Peuple un atelier de haut niveau sur la problématique de transfèrement des eaux de la rivière Ubangi vers le lac Tchad.
La cérémonie d’ouverture a été présidée par le Rapporteur de l’Assemblée nationale, Berocan Keraure, au nom du Président Aubin Minaku empêché.
Les Sénateurs et Députés nationaux, membres de la Commission Environnement et leurs collègues de la Communauté Economique et Monétaire d’Afrique Centrale (CEMAC).
Durant trois jours, les participants à cet atelier vont réfléchir sur la gestion intégrée des ressources en eau du bassin du Congo et du lac Tchad. Ils vont particulièrement discuter du projet de transfèrement des eaux de l’Ubangi. Ils examineront, entre autres, toutes les conséquences potentielles du projet sur les écosystèmes du bassin du Congo, sur le projet Grand Inga. Ouvert hier, les travaux de l’atelier seront clôturés le vendredi 6 novembre.
Philomène Mwaluke