RDC : Le ministre des Finances appelle les structures faîtières du secteur privé à collaborer avec la DGI pour préparer les entreprises à la transformation digitale

Mercredi 16 octobre 2024 - 18:52
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Doudou Roussel Fwamba Likunde, ministre des Finances nationales.

Le ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi a pris part à une séance de sensibilisation des organisateurs du secteur privé sur la réforme de la facture normalisée, renseigne une communication parvenue à la rédaction de 7SUR7.CD, ce mercredi 16 octobre 2024.

Le ministre des Finances a, après le mot de circonstance du Directeur général de la DGI, salué l'engagement du chef de l'État, Félix Antoine Tshisekedi, qui porte la digitalisation comme axe prioritaire de sa vision.

Pour l'argentier Congolais, cette réforme marque une grande avancée dans la matérialisation de la transparence des opérations économiques de la République Démocratique du Congo.


« La réforme de la facturation normalisée est devenue une nécessité pour notre Nation. Elle représente un instrument fondamental pour donner à l’État des moyens de financer ses politiques publiques dans divers domaines essentiels. Elle marque également un tournant dans la matérialisation de notre administration fiscale et la transparence des opérations économiques dans notre pays», rapporte cette dépêche de sa cellule de communication.

Et de conclure : 

« Cette réforme est une opportunité pour notre pays. Ensemble, nous avons le pouvoir de transformer notre système fiscal, d’en faire un pilier de notre développement et de notre compétitivité. »

Par ailleurs, Doudou Fwamba Likunde a appelé les structures faîtières à assumer pleinement leurs responsabilités et à collaborer avec la DGI pour préparer les entreprises à cette transformation digitale, en accompagnant ces structures dans leur conformité fiscale.

Il sied de souligner que le ministre des Finances a instauré des contrats de partenariat qui seront effectifs au plus tard le mois prochain, entre chaque structure faîtière et la DGI, pour ancrer cette réforme dans la réalité opérationnelle des entreprises congolaises et prendre en compte leurs préoccupations légitimes.

Grâce Kenye