La gestion rationnelle et orthodoxe de l'Assemblée nationale sous la présidence de l’honorable président Christophe Mboso a placé la barre très haut. À tel enseigne ses détracteurs désemparés, se sont sentis bien obligés de recourir au sordide stratagème politique de la manipulation, en commandant à ses services (ONG CREFDL, en l’occurrence) un rapport fabriqué pour tenter désespérément de saper l’image pourtant notoirement reconnue irréprochable de ce grand homme d’État.
Libre pour eux de le faire. Seulement, ils doivent savoir qu’ils n’arriveront jamais à effacer, dans la mémoire collective des congolais, ni à éclabousser, des décennies riches et saines d’expérience au service de la République de ce loyal et fidèle serviteur du peuple congolais.
Aucun mensonge, même celui concocté par satan lui-même, ne saurait être en mesure de relever un tel défi contre l’honnêteté, la vérité et l’intégrité de cette illustre autorité politique de la CRD.
Les rapports de la CNS (Conférence Nationale Souveraine) témoignent bien en faveur du profond respect qu’il a toujours fait montre vis-à-vis de l’argent du peuple. Immaculé, il en avait été sorti, de ces assises historiques, insoupçonné de toute pratique de mauvaise gouvernance.
Plus de 10 fois ministre, il n’a jamais volé ce qui appartient au peuple. Et il n’a jamais de cesse d'enseigner au sein de la CRD sur la sacralité des biens publics et de l’argent du peuple.
En 7 points, l'on démontre ici combien les auteurs de ce travail bourré d’incohérences et d’incongruités, assimilable sans doute à un torchon, sont ridicules :
1. Cette ONG malette refuse délibérément de dire à l'opinion que la chambre basse du Parlement, sous le patriarche Mboso, a fonctionné avec le même budget mensuel que tous ces prédécesseurs ;
2. En 2022, la rubrique budgétaire "Investissements de l’Assemblée Nationale" était de près de 90 millions $, dont près de 4 millions affectés pour l’achat des véhicules ;
3. Ce rapport fabriqué ne se base que sur les prévisions budgétaires. Alors que les performances ou contreperformances du bureau Mboso ne devraient être jugées que sur base de la reddition des comptes ;
4. Avec la même dotation budgétaire, le bureau du patriarche Christophe Mboso de l'actuelle classe politique a fait ce qu'aucun de ses prédécesseurs n'a jamais fait, notamment en dotant l’Assemblée nationale d'un charroi automobile de 44 véhicules pour un montant global proche de 4,000,000 USD, repartis de manière suivante :
- 11 Bus Coaster2023 pour l’administration ;
- 17 Jeeps Riche 4x4 2023 pour les Directeurs ;
- 2 Pick-up Hilux Fourgonnettes ;
- 7 Jeeps de fonction Land Cruiser LC 300 VXR pour les membres du Bureau ;
- 2 Jeeps Pick-up V8 ;
- 1 Jeeps Land Cruiser pour le dispositif sécuritaire de l’honorable Président ;
- 1 Jeep Fortuner pour le secrétaire général du Palais du peuple ;
- 1 Jeep Prado TXL pour le Dircab ;
- 1 Jeep Land Cruiser V8 pour l’escorte d’un membre du bureau ;
- 1 Jeep Land Cruiser pour l’escorte d’un membre du bureau.
L’achat a été fait chez les concessionnaires des véhicules Congo motors et CFO, en procedure de payement par échéance, pendant 1 an.
Plus de 10 fois ministre, le patriarche Christophe Mboso n'a jamais été ni soupçonné ni traîné en justice pour vol et détournement des deniers publics.
C'est sous le règne du Patriarche Christophe Mboso comme ministre des Sports qu'il fit exécuter la construction du mythique stade des Martyrs, l'unique du pays.
C'est aussi le Patriarche Christophe Mboso, alors ministre du portefeuille, qui fit construire les buildings siège de la SNEL et de la REGIDESO.
De tous ces travaux conduits par ce digne fils du pays, les Congolais n'ont jamais appris de détournement, moins encore vécu des procès Mboso.
Vraisemblablement, un rapport sur le contrôle budgétaire qui n’est basé sur aucun référentiel approprié requis, en l’occurrence la reddition des comptes, n’est que spéculation et pire incantation spectaculaire !
Somme toute, les commanditaires de ce pseudo-rapport en mal de positionnement et leur bras séculier ONG CREFDL (cette machine à production des pamphlets mensongers contre les adversaires politiques) ne devaient pas prendre les enfants de bon Dieu pour des canards sauvages, en nous confondant à des consciences imberbes qui ne savent ni lire ni comprendre ni critiquer.
Mulumba Kanyinda Patrick, Coordonnateur de la Cellcom CRD